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vendredi 31 août 2012

Commission médicale pour examiner l'état mental du chef de gang Mba Obame



               Commission médicale pour examiner l'état mental du chef de gang Mba Obame
 



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LES PORT-GENTILLAIS DISENT " OUST " AU GANG DES SALOPARDS

Les Port-gentillais disent " OUST " au gang des salopards 

                                               OPPOSITION MOUTOUKI regardez-les


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Non ! Les choses ne se passeront plus comme auparavant. C’est terminé.
Les agitateurs et les charlatans qui, pour assouvir leurs besoins matériels et financiers personnels, malgré leurs immenses richesses malhonnêtement acquises, agitent le spectre de la violence doivent être mis hors d’état de nuire.
Depuis les années 90, les Gabonais ont payé un lourd tribt. Ces derniers ont toujours été en première ligne dans la rue et de trop nombreuses familles ont été endeuillées.
Au final, il n’a s’agit rien d’autre que d’un vulgaire partage de postes. Pendant que certains pleuraient, d’autres se réjouissaient au gouvernement. Il en a toujours été ainsi.
Aujourd’hui encore, le gang des salopards ( Myboto, AMO, Eyeghé et leurs complices ) tentent vainement de nous refaire le coup ! Et leurs échecs répétés, malgré tout le diabolisme investi, ne signifie qu’une chose : les Gabonais ne sont plus dupes !
La preuve, aussitôt que nous avions révélés « le plan B d’AMO » où il est question, entre autres, de déporter la violence et le chaos à Port-Gentil, les Portgentillais, indignés se sont exprimés : « Ca suffit ! Notre ville a trop souffert des casses ! On ne sait pas ce que Mba Obame et ses complices nous cherchent (…) mais ce qu’ils veulent faire ici, qu’ils aillent le faire ailleurs ! (…) nous n’accepterons plus ces conneries ici à POG (…) pendant que chez eux, dans leurs villes, les constructions se poursuivent tranquillement ! »
Ce sentiment est le même partout nonobstant quelques égarés. Alors collez-nous la paix, merde ! La peur c’est fini !

Jean Christophe Cambadelis Porte Plainte avec Constitution de Partie Civile contre Marc Ona Essangui pour Faux en écriture

Jean-Christophe Cambadélis (PS), secrétaire national du Parti socialiste français, chargé de l'Europe et des relations internationales porte plainte « avec constitution de partie civile » pour faux et usages de faux, faux en écriture , contre Marc Ona Essangui, qu'il accuserait de manipulations, de vouloir délibérément et frauduleusement nuire à sa personne et au Parti Socialiste, à travers la diffusion de tracts anonymes fabriqués de toutes pièces et dont une lettre que Cambadélis aurait adressée à Marc Ona lui même, particulièrement à charge contre le Parti Démocratique Gabonais.
 

J.C Cambadélis ajoute ne pas se reconnaitre dans ces grossiers montages, et déplore avec force des méthodes ordurières qu'il compare à des officines de la gestapo « je ne connais pas cet individu et je n'ai jamais eu de correspondance avec lui », aurait martelé Monsieur Cambadélis.

Coutumier du genre et expert dans la fabrication de fausses histoires , Marc Ona Essangui ne serait pas à sa première intox . On se rappelle notamment de l'avion présidentiel gabonais qui aurait été soit disant bloqué au Bénin avec de la drogue et de la fausse monnaie , situation qui avait créé un incident diplomatique grave entre la République Gabonaise et celle du Bénin. Cette affaire avait d'ailleurs conduit le Président béninois Thomas Boni Yayi en personne à démentir publiquement cette rumeur non sans présenter ses excuses au Peuple Gabonais et son Président. Les enquêtes semblent avoir conduit sur la piste de.... Marc Ona Essangui.

Pour rappel, le faux et l'usage de faux sont définis à l’article 441-1 du Code pénal Français : « Constitue un faux toute altération frauduleuse de la vérité, de nature à causer un préjudice et accomplie par quelque moyen que ce soit, dans un écrit ou tout autre support d'expression de la pensée qui a pour objet ou qui peut avoir pour effet d'établir la preuve d'un droit ou d'un fait ayant des conséquences juridiques. Le faux et l'usage de faux sont punis de trois ans d'emprisonnement et de 45000 euros d'amende ( plus de 29 millions FCFA). »

Source de l'Information: www.ditengou.com/affairesOna-Cambadelis
 

mercredi 29 août 2012

LES ACTES D' ALI BONGO ONDIMBA il dit ce qu'il fait et il fait ce qu'il dit

Le nouveau Centre Hospitalier Universitaire d'Angondjet ainsi que son Institut de Cancérologie sont désormais prêts à l'emploi. Voici quelques images spécialement pour vous gabonais de la Diaspora:




























mardi 28 août 2012

La police sauve André Mba Obame d'un lynchage

LIBREVILLE LE 27 AOUT 2012

 Une foule en colère composée d'habitants du quartier "ancienne sobraga" de Libreville ont encerclé samedi dernier les lieux du meeting de l'ex Union Naionale (UN), tenant des marteaux et autres gourdins , menacent de s'y introduire , d'interrompre la réunion et de lyncher André Mba Obame, Myboto et Eyeghe Ndong.

« Mais, on est dans quel pays ? Il croit qu'il est quoi ? C'est lui qui nourrit nos enfants ? On va finir avec lui aujourd'hui », entend-on çà et là à propos de Mba Obame.

Cette horde en furie, est malheureusement stoppée à chaque initiative, par les policiers et gendarmes déployés sur les lieux .

Lassés des appels à la haine ethnique , des appels à la guerre au Gabon et voulant éviter les dégradations des magasins et autres casses des vehicules qu'ont subi les habitants du quartier cocotiers la semaine dernière , la population de l'ancienne sobraga , par ce lynchage , voulait en finir une bonne fois pour toutes avec ses anciens ministres multimilliardaires, au lieux d'organiser leur réunion dans les quartiers huppés de la capitale où ils résident , viennent les tenir dans les mapanes , évitant par la même occasion que leurs propres maisons soit cassées au cas ou sa chauffe.

Il est à signaler que pour la première fois, les principaux responsables de l'ex UN, se sont accordés à dire que la gendarmerie gabonaise est professionnelle, capable de sauver des vies humaines.

« Nous avons échappé à la mort grâce à l’esprit professionnel des gendarmes. Des habitants du quartier que nous avons trouvées autour ont voulu nous lyncher. Nous avons eu la chance grâce au commandant de gendarmerie et à ses hommes qui nous ont sécurisés et escortés », ont affirmé Mba Obame et Myboto, saluant de passage l’acte de l’officier et de ses hommes.

Rappelons qu'il s'agissait du premier meeting organisé par André Mba Obame depuis son retour au Gabon le le 11 août dernier près 14 mois de convalescence en France.

vendredi 24 août 2012

Que est ce qu'il devient et que deviendrat-il ?André Mba Obame où le Spectre de la Victimisation par l'Instrumentalisation Ratée de la Communauté Fang

Dans Son discours au peuple gabonais à l’occasion de la commémoration de l’indépendance le Vendredi 17 aout 2012 dernier, le Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a rappelé les valeurs  fondamentales du Gabon: la Paix, l’Unité, la Sécurité.



Ce discours  est intervenu  alors que certains leaders politiques  tentent de briser ces valeurs. Il est déplorable voire honteux, que des meneurs d’opinions abreuvent la population de discours violents et haineux de nature à créer un climat de peur.
 
L’Unité et le Pacifisme du peuple Gabonais sont historiques et ne doivent sous aucun prétexte être mis à l’épreuve. Le Gabon est un pays de droit où toutes les opinions peuvent être exprimées. La diversité des médias  gabonais en est la preuve. En revanche, les hommes politiques ont le devoir, quel que soit leur courant de pensée, de maintenir un esprit pacifique dans le pays.
 
C'est la raison pour laquelle le  Chef de l’Etat Ali BONGO ONDIMBA a condamné fermement les propos tenus par André Mba Obame depuis son retour au pays le 11 aout 2012. La sémantique utilisée par le fondateur du mouvement dissout «l’Union Nationale» est une sémantique violente, va-t’en guerre et tribaliste qui ne peut être acceptée dans un pays qui symbolise la Paix et la Stabilité.

Des Menaces de faire verser le Sang

Pour rappel, dès son arrivée, André Mba Obame a déclaré : «Ou c’est la violence politique, ou la conférence Nationale (…) c’est le seul moyen de sortir de la crise sans verser du sang», «Economisons des vies, économisons la violence», a-t-il  ajouté .Il est a noter qu’aucun  discours de ce type n’était jamais venu perturber la Paix du pays hormis ses propres propos tenus en 2009 avant, pendant et après son K.O électoral.

Le 21 Juillet dernier , alors que les orphelins de Feu Union Nationale , tenaient un meeting  à leur (ex) siège à Libreville, André Mba Obame est intervenu depuis Paris par téléphone. Il usait alors déjà de cette même sémantique guerrière . Durant 15 minutes d’allocution , l’homme n’a eu de cesse que d’employer des termes tels que «l’abandon du champ de combat », en référence à son départ après les élections de 2009. Autre référence au «combat»: «Rien ne peut nous empêcher de mener un combat victorieux » avait t-il déclaré, ou encore «le pouvoir émergent est condamné à partir, condamné à mourir»,avait t-il rajouté.
 
Notons au passage que ce Pouvoir émergent qu'il indexe à la moindre occasion, ne mène pas un combat mais un Projet clairdont l’objectif est le bien être de tous les Gabonais. Ce bien être ne se crée pas dans la division et dans le conflit comme souhaités et entrenus par M. André Mba Obame.

Une méthode tribaliste et haineuse menée depuis plusieurs années

La méthode dont use M. Mba Obame (AMO) pour rallier ses partisans est risquée et dangereuse. L’instrumentalisation et la victimisation de la Communauté Fang pour là rallier également à sa cause, comporte en soi le germe même de la division ethnique, source d’intolérance et de rupture du dialogue dans un pays Uni, Indivisible et Stable.

En 2009 déjà , le Prince des Ténèbres avait  échoué par l'usage de la même  méthode de ralliement tribal sur laquelle il avait d'ailleurs fondé toute sa stratégie  de  campagne. Francis Sala Ngouha-Beaud, ex animateur vedette  de  TV+, chaîne de télé privée d’AMO et pierre angulaire de sa stratégie ethnique , donnera  un témoignage le 10 Septembre 2009 . Le  journaliste expliquera alors comment  l’équipe de Mba Obame avait préparé l’insurrection et  la division . Edifiant!

«J’ai été au cœur de cette campagne (…) j’ai parcouru certaines provinces avec cette équipe et j’ai été au fait de certaines décisions . Je peux vous dire en toute honnêteté que cela ne présageait rien de Bon» , explique M. Sala Ngouha Beaud. « Il  y avait comme une volonté de partition du pays qui était mise en règle, une volonté d’affrontement ethnique, provincialiste qui était entrevue et encouragée», explique-t-il.
 
«Il n’est un secret pour personne lorsque vous observez la configuration politique du moment que tous les ralliements qui ont pu s’opérer en faveur du candidat André Mba Obame(…) était de  faire prévaloir une espèce de force identitaire plutôt que telle autre (…)», déplore le journaliste.
 
Il ajoute que « Il y a eu volonté délibérée de s’arroger l’électorat du Woleu Ntem en tenant  un discours fondé sur un rappelle de mythe de faits traditionnels et un langage qui tenait à «moi ou le chaos». Alors à partir de ce moment-là on n’avait plus à faire à une compétition électorale mais on avait à faire à un règlement de compte qui ne disait pas son nom, et qui, pour l’essentiel aurait consisté à lancer les population dans la rue et à susciter des réactions des forces de sécurité pour ensuite faire porter le chapeau a d’autre».
A la lumière de ce qui précède, on se rend bien compte que l'usage de la méthode barbare et dangereuse n’est pas une nouveauté pour Mba Obame et va clairement à l’encontre de tous les principes Républicains du Gabon. Le repli identitaire n’est pas acceptable dans ce pays et tout appel à de telles pratiques ne pourrait mener qu’à des catastrophes innommables que d'autres pays ont bien connus...

 
Des actions répréhensibles  et des associations politiques contre nature
 
Une conversation troublante a été diffusée récemment sur la chaîne de télévision publique Gabon télévision et reprise ensuite par l'UJPDG-France puis plusieurs internautes, dans laquelle un lieutenant de Monsieur Mba Obame proposait contre rémunération, de mettre le feu sur des boutiques appartenant à des ressortissants étrangers, sur des véhicules, dans des stations d’essence, le tout afin de provoquer une escalade des violences. Il convient de rappeler que Monsieur Jean Christophe Owono  Nguema, le  commanditaire entendu sur  la bande sonore  est un fidèle lieutenant de Monsieur Mba Obame, qui ne pouvait donc qu'être bien informé de cette machination machiavélique.

Monsieur André Mba Obame qui n'est pas un novice, connait parfaitement la portée de tels propos ou plutôt d'un tel scénario de conspiration . Il sait, en tant qu’homme politique formé et d’expérience , combien de tels commentaires sont  entâchés de  gravité et de dangérosité. Les exemples en la matière ne manquent pas puisque d'autres pays dans le monde ont connu des personnalités appelant à la violence et à l’insurrection. Les résultats de ces manipulations du peuple sont connus et ne doivent pas être acceptables dans notre pays.

André Mba Obame connait si bien les techniques de  propagande qu’il n’a eu de cesse de les utiliser à travers son média «TV +» pour diffuser ses messages de haine et de soulèvement. Cette manière d’user de cette plateforme pour transmettre des  messages violents rappelle de malheureux épisodes de notre continent et pourrait presque faire penser à la tristement célèbre radio des Mille Collines.

Il est inconcevable qu’un homme détourne un peuple reconnu  pour son pacifisme et son attachement à la paix.
 
Il semble d’ailleurs clair que ces méthodes malhonnêtes ne fonctionnent guerre car il règne à Libreville un climat de paix d’insouciance et d’indignation chez les populations déjà largement habituées aux frasques médiatiques de l’ancien Ministre.
 
De la même manière que les Gabonais issus de la communauté Fang ne sont pas prêts à se laisser instrumentaliser par un homme qui veut faire baigner notre beau pays dans le Sang.

Affaire à suivre demain avec la Biographie de l'impétrant
 
Auteur: La Jeune Garde 

Le Président Français François HOLLANDE Se Félicite à Nouveau de Sa Rencontre avec Ali BONGO ONDIMBA le 5 Juillet Dernier à Paris

Dans un message adressé à son homologue gabonais Ali BONGO ONDIMBA, à l’occasion du 52ème anniversaire de l’accession du Gabon à la souveraineté internationale, le Président français, François HOLLANDE, a salué l’excellence des relations entre la France et le Gabon.

Le Chef de l’Etat français, qui a reçu son homologue gabonais le 5 juillet dernier à Paris, a indiqué dans son message qu’il entendait « poursuivre avec lui le dialogue sur les questions de gouvernance et les enjeux de la paix et de la sécurité en Afrique ».

« Me félicitant d’avoir pu vous rencontrer le 5 juillet dernier à Paris, j’entends bien poursuivre avec vous les échanges sur nos relations ainsi que le dialogue que nous avons engagé sur les questions de gouvernance et celles relatives aux enjeux de paix et de sécurité sur le continent africain », souligne le message.

« La Fête Nationale de la République gabonaise m’offre l’occasion de vous adresser, ainsi qu’à tous vos compatriotes, mes sincères félicitations et mes vœux de bonheur et de prospérité pour le peuple gabonais », conclut le message.




Premier partenaire du Gabon, la France est présente dans la quasi-totalité des secteurs de l’économie de ce pays, qui est son 74ème partenaire commercial dans le monde et son 9ème en Afrique subsaharienne.

A elle seule, la France totalise environ 75% des investissements étrangers au Gabon.

Les quelque 150 entreprises françaises installées dans ce pays et opérant surtout dans le secteur du Bâtiment et des Travaux Publics (BTP), ont réalisé, en 2011, un chiffre d’affaires de 2300 milliards de FCFA, confirmant la position stratégique et privilégiée de la France.

mardi 21 août 2012

Communiqué de Madame le Procureur de la République OUWE Sidonie Flore: André Mba Obame Bientôt Interpellé?

Communique de Presse du Procureur de la République Madame OUWE Sidonie Flore :


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Mesdames, messieurs bonjour,

J’ai tenu a faire le point sur les évènements du 25 aout 2012 à Libreville dans les quartiers Cocotiers, Nkembo, bref dans le deuxième arrondissement de la commune de Libreville.

Ces évènements sont concécutifs à l’appel lancé par Monsieur Mba Obame André et ses compagnons politiques, le 11 août 2012, lors de son adresse pour une rencontre le 15 août 2012, à 15h, au quartier Cocotier. Rencontre non autorisée par les gouvernants.

C’est ainsi qu’au petit matin du 15 août 2012, les forces de police nationale avaient investi les quartiers précités afin de les sécuriser.

Foulant aux pieds les mesures prises par les gouvernants, les jeunes et les vieux de nationalités diverses ont gravement troublé l’ordre public en bravant les forces de police nationale, par le jet de pierres suivi d’actes de vandalisme matérialisés par l’incendie de plusieurs véhicules, la dégradation volontaire des autres véhicules et le saccage des magasins de ressortisants étrangers.

Le bilan matériel est lourd et les reponsables devront en répondre devant la justice.

Au nombre de ces dégats il y a :

Sept (07) véhicules incendiés
Vingt quatre (24) véhicules endommagés,
Une (1) station service Oil Lybia saccagée et mise hors d’usage.

Au terme de notre passage dans les différents services hospitaliers, l’interne de garde du Centre Hospitalier de Libreville nous déclarait avoir reçu deux blessés légers dont la vie n’était pas en danger et une jeune dame arrivée décédée dans leur service.

Toutefois, relevait le médecin, le corps qui était transporté par les parents ne présentait aucune lésion coprporelle apparente et jusqu’à ce jour aucune autopsie n’a été pratiquée sur la victime pouvant déterminer les causes du décès de Mademoiselle Nguema.

A ce jour nous apprenons de certains médias qu’il y aurait un deuxième décès. Il convient de souligner que seule l’autopsie peut déterminer avec précision les causes du décès.

Par ailleurs, aucun signalement n’a été donné aux forces de sécurité sur le fait qu’une personne sans vie aurait été retrouvée sur les lieux de la manifestation.

Enfin, plusieurs personnes ont été interpellées et sont sous main de justice pour être déférées très prochainement.

Ces actes crapuleux et inacceptables se sont produits dans notre capitale et rien ne pourrait justifier cela.

Les infractions définies comme crime ou délit contre les populations sont insupportables et le statut d’instigateur ou de complice a bien un sens dans notre arsenal juridico-judiciaire répréssif.

Lorsque ces actes visent des communautés autres que la notre, ils deviennent terrifiants.

Ces commerçants victimes de pillage sont installés dans notre pays pour sa stabilité et sa sécurité, mais au nom de quoi un individu ou un groupe d’individus peuvent, foulant l’autorité établie, détruire notre économie nationale et notre couverture sociale ?

La position du parquet de la république est claire et sans ménage :

Garantir le maintien de l’ordre public, premier des droits régaliens à travers en amont une police sécuritaire et en aval par une répression ferme des délinquants identifiés.

C’est un intérêt national que l’ordre public soit garanti dans la capitale d’un pays.

Aucun quartier, aucun arrondissmeent, aucune commune, aucun département de la capitale n’échappera à l’autorité de la loi.

Nous allons frapper au cœur de la délinquance quelque soit son origine et ses acteurs, quelle soit juvénile ou sénile, force restera à la loi.

Pour marquer d’avantage notre volonté de traquer les auteurs de troubles à l’ordre public, nous punirons avec tous les moyens de droit les auteurs des dégats du 15 aout 2012.


Fait à Libreville, le 20 – 08 - 2012


Le Procureur de la République
OUWE Sidonie Flore.
 

lundi 20 août 2012

Andre Mba Obame AVAIT PREVU REDUIRE LIBREVILLE LA CAPITALE GABONAISE EN CENDRE DEPUIS 2009:REVELATIONS EDIFIANTES D'UN TEMOIN

suivez ce témoignage visuel

Urgent:André Mba Obame Simule Deux Décès (Imaginaires) Pour Provoquer un Soulèvement à Oyem et Port-Gentil

 cliquer sur ce lien ci-dessous
http://lajeunegardenationale.blogs.nouvelobs.com/archive/2012/08/16/urgent-andre-mba-obame-simule-deux-deces-imaginaires-pour-pr.html

MBA OBAME MET LES CASSEURS SUR LES RUES DE LIBRAVILLE






Urgent:Jean Christophe OWONO NGUEMA, Lieutenant de Mba Obame Surpris en Train de Planifier l'Incendie de Libreville(Bande Sonore)

Personne n'y a cru et jusqu'à ce jour personne n'y croit toujours, et pourtant les faits qui vous sont révélés dans cette publications sont réels. Ils mettent en effet en cause, l'ancien Député PDG, désormais passé dans les rangs de l'ex Union Nationale, Jean Christophe OWONO NGUEMA qui, dans la conversation que vous allez écouter, se fait piéger comme un gamin par un Pyromane qu'il a lui même contacté aux fins, tenez vous bien, de  planifier la Mise à Feu de la Capitale Gabonaise Libreville, le Samedi 11 Août 2012, date correspondant au retour de l'AMOral (André Mba Obame). 
                                                         VOICI LA VIDEO QUI REVELE LE COUP
                                                                    PRÉPARER DE MBA OBAME

A la suite de la mise en ligne de cette vidéo, plusieurs partisans de Mba Obame notamment, ont laissé entendre qu'il s'agissait d'un "coup monté" (il fallait s'y attendre d'ailleurs) par un "parfait immitateur" (LOL, TROP FACILE COMME SUBTERFUGE!).
Or l'un des propres frères de l'intéressé que nous appelerons Monsieur X, a confirmé qu'il s'agissait bel et bien de la voix de son grand frère Jean Christophe, qui  n'a d'ailleurs jusqu'à ce jour, JAMAIS Démenti les Faits qui lui sont attribués et qui lui seront bientôt reprochés devant les Juridictions Compétentes désormais saisies de l'affaire
La scène se passe dans le véhicule de Jean Christophe OWONO NGUEMA qui a à son bord, le chef d'un gang librevillois spécialisé dans les basses besognes dont des braquages, vols à mains armées et incendies préméditées.
L'individu dont on ne livrera pas l'identité était accompagné d'une autre personne qui a délibérément et à l'insu de tous, choisi d'enregistrer la conversation. Motif: Avoir un moyen de pression sur leur commanditaire et commettant au cas où ce dernier ne versait pas l'intégralité de la somme exigée pour accomplir la "lourde tâche". Le reste, vous l'entendrez de vos propres oreilles et que ceux qui ne comprennent pas Fang s'appuient sur la traduction intégrale de la conversation en Français et que vous trouverez ci-dessous: 
      VOICI LA CONVERSATION AUDIO QUE VOUS TROUVEREZ  RETRANSCRITE EN FRANCAIS CI-DESSOUS
Version traduite en français

Owono Nguema : Y’a des étrangers qui seront-là, il y aura beaucoup, la presse étrangère et tout, comme tu sais que la chaine Une elle ne montre que les choses des émergents, c’est pour cela que je voudrais que tu me trouves des gars qui peuvent le faire ; comme cela je te donnerai un peu d’argent pour acheter de l’essence. Puis ils prendront les vieilles roues et viendront les brûler au carrefour, au marché, ils brûlent un peu, juste pour hein !!! Dès qu’ils finiront de brûler !!! Voilà un peu hein.

Interlocuteur : Lorsque vous aviez entendu que ce marché avait brûlé ; tu n’avais pas entendu que ce marché là avait brûlé ?

Owono Nguema : Le marché ? Ah bon, il avait brûlé ?

Interlocuteur : C’est nous qui l’avions brûlé.

Owono Nguema   : Ah bon !

Interlocuteur : Oui, on vient de le reconstruire. J’ai mon équipe dehors. Tu ne les verras jamais, tu ne les verras pas. Moi-même je suis un ancien briguant.

Owono Nguema   : C’est pour cela que je veux que !!!!!!!

Interlocuteur : Non c’est prêt.

Owono Nguema   : Tu me prends cette équipe hein, je te donne un peu de sous hein, je donne un petit quelque chose.

Interlocuteur : Heu, heu !

Owono Nguema   : Je vais d’abord voir comment ils vont d’abord travailler ;

Interlocuteur : Oui.

Owono Nguema : Si cela se passe bien, je rajoute. S’ils voient les vieilles voitures, qu’ils les incendient, il faut qu’on sente que ça chauffe, et les autres feront la même chose dans les quartiers.

Interlocuteur: Oui, oui.

Owono Nguema : Donc je te donne un peu de sous pour leur acheter de l’essence et des allumettes, des trucs comme ça.

Interlocuteur : Hum, les gars sont prêts.

Owono Nguema   : Je veux que tu prennes ça, vraiment que ce soit à partir de demain soir.

Interlocuteur : Hum.

Owono Nguema : Demain soir samedi.

Interlocuteur : ça permet qu’aujourd’hui je puisse faire les courses qu’il faut.

Owono Nguema : Termine de faire ces courses-là.

Interlocuteur : J’ai pris la zone qui part de, tu vois le tour que nous faisons-là, en partant de Rio, on prend la route qui va à Venez-voir, au feu rouge de la Peyrie, Akébé-Ville, jusqu’au  carrefour, puis au Sporting, on fera un contour jusque chez moi-là.

Owono Nguema : Voilà !!!

Interlocuteur : Donc c’est dans cette zone que mes hommes vont travailler.

Owono Nguema   : C’est-là où ils vont travailler et on a notre zone bouclée.

Interlocuteur : Voilà !!!

Owono Nguema : Donc Rio.

Interlocuteur : Non, il faut  poser  des actes qui vont  pousser les gens à la révolte, s’ils trouvent même  un parking de vente de véhicule ils mettent le feu.

Owono Nguema   (il reçoit un coup de fil) : Oui allô, allô bonjour, oui, oui monsieur Owono Nguema, oui tout à fait, vous avez raison, j’étais-là oui ; mais depuis-là je ne suis plus jamais repassé à Oyem là-bas. Et on verra ça quand je serai là-bas, et puis on va traiter ça. Je compte être là, à la fin du mois. Oui, oui je serai à Oyem là-bas. Je vous verrai.

Owono Nguema   (après la conversation téléphonique) : Donc tu vois, lorsque tu l’auras fais, je voudrai que tu commence ici, là où les Libanais vendent les voitures, il faut mettre le feu, brûler comme cela les gens sortiront.

Interlocuteur : Voilà !!!

Owono Nguema : Tu me prends ça, donc à partir d’aujourd’hui tu prends tes dispositions, je sais que tu as beaucoup de choses à faire.

Interlocuteur : Je t’assure que j’ai des gars qui ne demandent qu’à être bien entretenus pour faire le boulot qu’il faut et comme il faut.

Owono Nguema : Comme je n’ai pas beaucoup d’argent, tiens je te donne 80.000 francs, hein ! Quand tu finiras le premier coup, appelle-moi ; mais on ne fait pas le point au téléphone, on se rencontrera-là où on se voit souvent.

Interlocuteur : Le téléphone est mauvais.

Owono Nguema : Tu fais le premier point.

Interlocuteur : D’accord, ok.

Owono Nguema : Maintenant tu as les armes, je veux voir comment tu travailles, ça doit chauffer d’ici demain samedi, après je !!! S’il faut que je rajoute, je rajouterai.

Interlocuteur : D’accord, pas de problème.

Owono Nguema : Allez, bon, j’attends de tes nouvelles.

Interlocuteur : Sans problème.

Fin de Citation. Gabonaises et Gabonais, à vous d'en Juger...  Nous attendons toujours le démenti devant caméra, de Monsieur Jean Christophe OWONO NGUEMA, auquel cas, l'action publique doit être immédiatement déclenchée...

Auteur: Jean Christophe OWONO NGUEMA
Sources: Vérités du Grand Nord

mardi 14 août 2012

Le Ministre de l'Intérieur Jean François NDONGOU Met en Garde André Mba Obame:"La Loi sera Appliquée dans toute sa Rigueur"

 
Faisant suite aux déclarations de André Mba Obame à peine rentré au Gabon, dans lesquelles ce dernier appelle clairement au repli identitaire et à l'insurrection, le Ministre de l'Intérieur Jean François Ndongou prévient  l'intéressé quant aux actes contraires aux Lois de la République qui récolteront les conséquences prévues par les mêmes Lois:
                    
                                          Communiqué 

Parti de Libreville il y a 14 Mois, avec l’accord des autorités judiciaires et sur avis d’une commission médicale, Monsieur André MBA OBAME a regagné Libreville le samedi 11 Août 2012 en fin d’après midi.

A son arrivée, les autorités judiciaires n’ont entrepris aucune démarche à son encontre jusqu’à sa sortie de l’aéroport de Libreville. La police nationale a été commise pour encadrer quelques uns de ses partisans, de l’aéroport jusqu’à son domicile, sans incidents et sans être inquiété.

Alors  qu’il est encore sous le coup de poursuites judiciaires, Monsieur André MBA OBAME a manqué l’occasion de se taire . Tout au contraire, lors de ses premières déclarations, dans un discours aux relents tribal et ethnique, il appelle ses partisans, à l’insurrection et la désobéïssance civile, brandit la menace de mort à l’endroit du peuple au nom duquel il prétend parler ; toutes choses qui promeuvent la déstabilisation des Institutions de la République.

Face à ces agissements venant de la part d’un ancien Ministre de l‘Intérieur qui maîtrise donc parfaitement le Droit, le Gouvernement de la République prend à témoins l’opinion nationale et internationale sur les possibles conséquences de telles déclarations.

Le Gouvernement, Garant de la Paix et de la Sécurité sur toute l’étendue du territoire national, appelle les populations à la vigilance et à vaquer tranquillement à leurs occupations.

Le Ministre de l’Intérieur rappelle enfin que le Gabon étant un pays de droit, aucun citoyen ne peut s’y soustraire, fut-il un homme politique.

La Constitution de la République en son article 3 du titre premier dispose d’ailleurs que « la souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce directement, par référendum ou par l’élection , selon le principe de la démocratie pluraliste, et indirectement par les institutions constitutionnelles.

Aucune section du peuple, aucun groupe, aucun individu ne peut s’attribuer l’exercice de la souveraineté nationale ni entraver le fonctionnement régulier des Institution de la République . »

Le Gouvernement ne répondra pas aux provocations de toute nature, mais force restera à la loi et elle sera appliquée dans toute sa rigueur.

Fait à Libreville le 12 Août 2012

Jean François NDONGOU, Ministre de l’Intérieur, de la Sécurité Publique, de l’Immigration et de la Décentralisation