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vendredi 10 juin 2016

« Le Département de la Zadié spolié et volé par le Député MOMOADJAMBO pendant deux mandats


 
Elu Député du premier siège du département de la Zadié en 2006 et en 2011, Sylvain MOMOADJAMBO a passé son temps à voler et à spolier les acquis et projets de sa circonscription électorale.
A cet effet, les populations et les militants du Parti Démocratique Gabonais affirment que les locaux et la villa de fonction du chef de service départemental des Affaires Sociales de Mékambo sont restés en l’état durant ses deux(02) mandats, alors que tous attendaient leurs finitions et leur ameublement.
Grande a été leur surprise de constater que les budgets y relatifs avaient disparu. Mais les populations qui pointent du doigt leur ancien Député, pensent que celui-ci a fait main basse sur cet argent dont il n’a jamais justifié l’utilisation.
Le même constat a été fait au niveau du dispensaire du village Zambakangaka, dont les travaux de construction avaient été initiés par son prédécesseur, feu Maurice IKOBABEDJE. De son vivant, ce dernier avait réalisé lesdits travaux jusqu’à la toiture, pratiquement estimés à 80%. Il ne restait plus que les ouvertures, le crépissage, le carrelage et la peinture avant de le mettre à la disposition des populations  via la Direction Régionale de la Santé de l’Ogooué Ivindo.
L’autre projet torpillé par l’ancien Représentants du Premier siège du département de la Zadié à l’Assemblée Nationale, Sylvain MOMOADJAMBO, est la construction de l’école primaire et des logements d’enseignants du village Héanzo, situé à 43Km de Mékambo, dans le canton Mbengoué, sur l’axe Makokou-Mékambo.
Si les populations ont salué le début des travaux exécutés par un maçon dudit village, Christian SOUMBOUBADI, commis par le Député démissionnaire du PDG, elles ont du déchanter en constatant que ceux-ci ne sont pas allés à leur terme. Car ce sont des demi-murs, non crépis avec une toiture qui coule à la moindre pluie, ainsi que les ouvertures qui sont inexistantes. Au lieu d’un cycle complet comme prévu avec bureau du Directeur, par le budget de l’Etat, ce sont plutôt trois(03) salles de classes qui ont été montées, sans logements.
C’est donc une école inachevée ne respectant aucune norme en matière d’éducation que M. MOMOADJAMBO  a construite pour la jeunesse mékamboise.
Des sources ministérielles affirment que ce sont environ cent cinquante millions(150.000.000) de francs CFA, qui avaient été alloués pour la réalisation de ce projet qui comprenait comme dit supra, une école à cycle complet, c’est-à-dire avec cinq(05) classes, un bureau du Directeur et trois(03) habitations pour les enseignants.
L’enquête parlementaire diligentée par l’Assemblée Nationale et conduite par le Député Barnabé NDAKI, en son temps, avait  constaté que certains travaux n’ont pas été effectués et que l’argent qui était prévu pour cela, s’est dirigé dans les poches de Sylvain MOMOADJAMBO.
Les populations du village Héanzo, estimant que la jeunesse a été flouée demandent aux autorités parlementaires de révéler les conclusions de cette enquête afin de les transmettre à la justice, qui prouvera, à n’en point douté, que l’ex Député Sylvain MOMOADJAMBO, gestionnaire des différents budgets alloués pour les projets de sa circonscription électorale, a bien volé l’argent destiné à leur réalisation. Il devra donc répondre de ses actes même s’il veut se refaire une virginité politique, en allant se refugier dans l’Opposition, au sein du Rassemblement Héritage et Modernité.
En se retrouvant militant dans ce parti, Sylvain MOMOADJAMBO, pensait que les populations du premier siège du département de la Zadié, à Mékambo, vont oublier sa gestion scabreuse de nombreux projets de l’Etat.

mercredi 1 juin 2016

TRAFIC D’ARMES/Bitam


PSYCHOSE A BITAM APRES LE RETOUR DE GLISSANT JOSEPH NKOULOU ONDO ALIAS ETANG


Ce compatriote a été interpellé, le 24 mai à Kyé-Ossi au lendemain du vol de plusieurs armes au sein du Commissariat de la localité d’Abang-Minko plus connue sous le nom de Marché Mondial. Que comptait-il en faire de ces armes ? Pourquoi a-t-il été relâché si vite ? Ce sont là, certaines questions qui hantent les populations qui vivent désormais dans la stupeur.

Le 18 mai des armes ont été volées dans les locaux de la Sûreté Urbaine à Abang-Minko parmi ces armes, des kalachnikovs et des fusils automatiques lunettes. Les barrages routiers et la fouille de véhicules ordonnés par la Police camerounaise aboutissent à l’arrestation, le 24 du même mois de Glissant Joseph NKOULOU ONDO alias Etang qui était en possession de deux kalachnikovs.

L’intéressé est alors transféré à Ambam pour une série d’auditions. Curieusement c’est au cours d’une d’entre elle que le témoin principal commence à changer de version. Devant l’insistance des policiers camerounais, il avoue subir des pressions et des menaces de mort émanant du côté de Bitam.

Pour éviter une brouille diplomatique avec le Gabon, Glissant Joseph NKOULOU ONDO est libéré après l’épuisement des délais de garde-à-vue. Il revient alors à Bitam.

Mais qui est Glissant Joseph NKOULOU ONDO ?

Il est le neveu le frère du défunt Hervé BEYEME OBIANG alias FANTOMAS, bandit de grand chemin, chef de file des CAPISTES que René NDEMEZO’O OBIANG utilisait pour certaines basses besognes.  Cet oncle pourrait donc nourrir les mêmes projets pour le jeune NKOULOU ONDO.

Depuis son retour à Bitam, les populations sont inquiètes craignant qu’il ait réussi avant son interpellation à cacher certaines de ces armes en territoire gabonais.

Le cas de Jean PING aurait du mal à convaincre que l’implication du neveu de René NDEMEZO’O OBIANG dans une affaire de vol d’armes au Cameroun est, un mensonge du Gouvernement comme il tente de leur faire en vain des appels à « l’extermination des cafards » proférés par leur champion.