Traduction de la page

mercredi 30 mars 2016

Union Nationale : DTE = Distraire – Tromper – Embrouiller en 3 étapes !

  familiale Myboto
La tendance familiale Myboto de l’UN vient de présenter le projet DTE : Distraire, Tromper, Embrouiller. Une distraction politique de plus pour boycotter l’opposition et la garder en permanence dans l’impréparation et la théorie de la « chaise vide ». Certains prétendent que les Myboto jouent le jeu du pouvoir. Et que cette sortie du DTE est une étape de plus vers une stratégie bien huilée en 3 étapes qui continue à Distraire, Tromper et Embrouiller l’opposition.
Etape 1 : Distraire.
La stratégie de Zacharie Myboto était très claire : réunir les leaders et candidats de 2009 au sein d’un parti pour en avoir le contrôle. Président de l’UGDD, il devint de facto le Chef de l’UN. Pendant qu’AMO dont il voulait se débarrasser et les autres étaient sincères, Myboto se faisait « payer ses factures » par le pouvoir. Preuve de son attitude lors de la maladie et du décès d’AMO. Aussi, pendant cette période, les vrais proches d’AMO comme Gérard Ella Nguema ou Mike Jocktane ont été victimes de toutes sortes de brimades. En réunissant ces leaders, Myboto en avait le contrôle et pouvait donc déployer d’autres étapes.
Etape 2 : Tromper.
Elle consistait pour Myboto à renforcer davantage la distraction en faisant en sorte que l’opposition ne soit pas représentée dans les instances de décisions. Pour des raisons inconnues, Myboto persuada AMO de ne pas participer aux législatives de 2011 au profit de la majorité certainement. Conséquence de cet acte politique suicidaire, l’UN qui était en position d’avoir au moins une dizaine de députés et faire le poids n’a qu’un seul et le Gabon continue. Les résultats de l’UN aux locales n’ont été qu’une suite logique de cette tromperie.
Etape 3 : Embrouiller.
Il faut embrouiller les débats politique et personnel autour de l’héritage d’Omar. Grâce à Chantal et Onaïda, il a confondu le débat dans l’UN, le détournant de ses objectifs politiques. Pour la présidentielle, Myboto avait d’abord interdit aux militants de s’enrôler, puis disait réfléchir et leur demanda à quelques jours de la fin de le faire. Avec le DTE, Myboto vient de réussir un grand spectacle de distraction politique. Il s’abstient de désigner un candidat pour le moment, pour le faire à quelques jours de la campagne. Distraire, Tromper, Embrouiller est une stratégie huilée des Myboto contre l’opposition Gabonaise.
Tags:

Où est donc passé l' »opposant historique » Célestin Ella Ollomo ?

 Celestin-Ella-Ollomo
Le candidat déclaré à la présidentielle d’août prochain au Gabon, Célestin Ella Ollomo avait annoncé son arrivée à Libreville le 25 mars dernier pour lancer officiellement sa campagne. Mais depuis lors, personne n’a plus eu aucune nouvelle de cet opposant qui entend montrer de quoi il est capable si jamais il est élu à la tête du pays.
En effet, au soir de la journée de son arrivée annoncée et des jours après, il n’y a eu aucun mouvement particulier à l’aéroport international Léon Mba présageant l’arrivé d’un opposant, surtout lorsque celui-ci vient pour annoncer officiellement sa candidature à la présidentielle. Même les militants de l’opposition, souvent solidaires en pareille circonstance n’ont pas été signalés à l’ADL. Est-il finalement arrivé au Gabon et que personne n’y ait fait attention ? A-t-il reporté ou annulé le voyage ? Pour le moment, chacun va de son commentaire.
Pendant que certains sont amusés, prétextant qu’il est passé par la route et se serait réfugié à Bafoussam pour reprendre des forces, pour d’autres, c’est une véritable stratégie politique qui le fera réapparaître, tel un « messie » par le truchement d’une conférence de presse qui « va faire mal ». Mais pour le moment, les militants de l’opposition gabonaise qui ont déjà une très grosse assiette de candidats ne sont pas moins impatients de découvrir cet opposant qui a fait sa petite histoire sur les réseaux sociaux et qui entend changer les choses mais dans l’opposition gabonaise.
Tags:

mardi 29 mars 2016

Présidentielle 2016: L’Union nationale anticipe sur sa défaite et s’abstient de présenter un candidat

 L'union-nationale
Ce dimanche 27 mars 2016, dans l’enceinte de la salle des fêtes « Noé Palace » (dans la commune d’Akanda), Zacharie Myboto, président de l’Union nationale, a annoncé la non-participation de son parti politique à l’élection présidentielle de 2016. Une décision prise contre le gré des congressistes qui peut s’expliquer de différentes manières.
D’abord, certaines indiscrétions proches du directoire de l’UN avancent que c’est parce qu’il n’est pas parvenu à imposer son gigolo de beau-fils, Paul Marie Gondjout époux Myboto que le président dictateur du parti a tranché en faveur de l’abstention. En effet, Casimir Oyé Mba et Mike Jocktane, après avoir rappelé que l’UN n’était pas un parti familial ou une monarchie, ont poussé la monarchie Myboto dans ses retranchements. Cette dernière ne pouvant positionner son candidat a donc décidé de boycotter les candidatures du pseudo pasteur et de l’amant de Paulette Missambo.
Ensuite, l’autre thèse avancée par d’autres militants est financière. Les caisses de la trésorerie étant vides, le clan Myboto qui pensait se refaire une santé financière avec la plainte non recevable d’Onaïda ne sait plus où trouver des ressources pour parrainer la campagne électorale de Paul-Marie Gondjout époux Myboto. En plus, avec la fermeture de la résidence hôtelière « Le Maïsha » et les 4 000 000 000 de Fcfa à payer au fisc gabonais, l’abstention reste la meilleure solution pour éviter de perdre le reste d’argent détourné dans les caisses de l’Etat, au moment où ils étaient aux affaires.
Enfin, même si les deux raisons avancées précédemment sont avérées, la principale cause pour laquelle l’Union nationale ne veut pas participer à l’élection présidentielle est: la victoire certaine du candidat du Parti Démocratique Gabonais, Ali Bongo Ondimba. Nul doute que les Unionistes ont pris acte de la force de leur adversaire et ont choisi d’être des « lâches vivants plutôt que des rigolos battus copieusement lors de la prochaine élection présidentielle ».
En perte de vitesse, Zacharie Myboto et les siens pensent avoir pris la plus sage des décisions. Pourtant, l’annonce de cette non-participation de l’Union nationale à l’élection présidentielle est déjà source de nouvelles tensions au sein de ce parti au terme de ce pseudo congrès.
Tags:

Quelles sont les potentielles victimes de la « Guerre Civile » prônée par Jean Ping ? à suivre sur cette video

Depuis son retour en politique, Jean Ping cultive le spectre de la « Guerre Civile » et de la peur dans les consciences sans pour autant désigner les communautés ethniques, religieuses ou territoriales (provinces) potentiellement victimes de ce chao dans lequel il veut plonger notre pays. Pour lui, sa simple candidature à l’élection présidentielle est l’équivalent de la vie des milliers de Gabonais probablement souffre-douleurs de son obscur projet pour notre pays : la « Guerre Civile ».
A chacune de leurs époques, les plus grands dictateurs de l’histoire de l’humanité se sont presque servis du même discours pour manipuler et fanatiser au nom de la raison ethnique ou communautaire et assujettir des peuples entiers. Ce fut notamment le cas pour Hitler, Kadhafi ou Staline. Ayant les mêmes pratiques, Jean Ping est l’un des Africains les plus antidémocratiques, dictateurs pour qui la politique de la « terre brulée » est une passion. Déjà en très peu de temps, il a réussi à détruire plusieurs partis et groupes politiques de l’opposition.
Dans tous ses discours et sorties, Jean Ping ne manque pas une seule occasion pour prêcher : la « Guerre Civile ». Les Gabonais l’ont déjà eux-mêmes constaté à travers plusieurs discours tenus à des endroits différents : « amener le pays vers le drame, vers la guerre civile » ; « le sang fini par sortir » ; « il s’agit d’une véritable expédition pour nous débarrasser des cafards ». Face à ce discours étranger à nos valeurs ancestrales, les Gabonais restent perplexes et se posent plusieurs questions légitimes sur les intentions de cet enfant d’origine chinoise, parvenu, qui n’a sans doute aucun amour pour le Gabon et les Gabonais qui lui ont pourtant tout donné.
Ainsi, d’autant que la « Guerre Civile » se définit comme un ensemble d’actes de violence, de répression, de viols, de tueries entre groupes identifiables et dont les causes peuvent être ethniques, religieuses et territoriales. Quelles sont donc les ethnies, les religions et les provinces de notre pays qui sont visées par ce projet obscur de Jean Ping ?
Concrètement, veut-il fanatiser les Akélé contre les Punu ? Veut-il monter les Fang contre les Nzebi ? Les Myéné contre Obamba ou les Kota ? Les musulmans contre les chrétiens ? Une province contre une autre? Les étrangers contre les Gabonais d’origine ? Mais le Gabon est un pays où foisonnent une cinquantaine de groupes ethniques dont les alliances ne sont plus à dénombrer et où cohabitent dans la courtoisie chrétiens, musulmans et animistes. De plus, en dehors des Gabonais eux-mêmes qui protégeront leur pays à tous prix, Jean Ping aura face à lui, les pouvoirs publics qui ont la charge de maintenir l’ordre et d’assurer la sécurité des Gabonais.
Tags:

samedi 19 mars 2016

LE VAMPIRE DE CHANTAL MYBOTO DATE DEPUIS DES ANNEES

 La manipulation a toujours été dans ses gènes. Dans cette lettre quelle adresse à Omar Bongo, Chantal Myboto lui demande de virer quelques ministres déjà dans les années 93-94. En avait-elle le droit ? On se pose toujours la question.   Changeons Ensemble 


jeudi 17 mars 2016

Mobilisation monstre pour recevoir Ali Bongo Ondimba ce matin à Lambaréné !

 Ali Bongo Ondimba
Le caractère officiel de la visite de travail du Président de la République dans la ville n’a pas empêché la grande mobilisation des populations constatée ce matin lors de son arrivée. En effet, Ali Bongo Ondimba vient de faire sa descente d’avion à l’aéroport Georges Rawiri de la ville de Lambaréné, capitale de la province du Moyen-Ogooué. Lors de celle-ci, il a été accueilli par le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, Daniel Ona Ondo, plusieurs membres du Gouvernement et les autorités politiques, administratives, civiles et militaires de la province. Le Président de la République est en visite officielle à Lambaréné pour trois (3) raisons.
D’abord pour affirmer sa volonté de faire de la décentralisation une réalité au Gabon. Comme le témoigne la récente loi qui a été votée et qui va permettre à toutes les collectivités locales de mieux offrir les services publics de base, notamment dans les domaines de l’éducation et la santé.
Ensuite, dans la ville du “Grand Blanc”, le Chef de l’Etat qu’accompagne le Ministre de l’Intérieur, de la Décentralisation, de la Sécurité et de l’Hygiène publique, en charge de la protection civile, Pacôme Moubelet-Boubeya, prendra part à l’Assemblée Générale de l’Association des Maires du Gabon, dont l’objectif est d’assurer la promotion du développement décentralisé et d’assurer un meilleur service de proximité aux citoyens urbains.
Enfin, Ali Bongo Ondimba se rendra au contact des populations, et notamment auprès des victimes des violents orages qui ont frappé la ville au mois de février. Pour rappel, une aide d’urgence a été mise en place par l’Etat pour procéder au plus vite à la reconstruction des écoles, des infrastructures publiques et pour venir en aide aux foyers sinistrés les plus démunis.
Tags:

Le projet de société de l’UN: Venger Chantal Myboto

Ils n’ont pas fini de se décourager, ceux qui espèrent que l’Union nationale se ressaisisse. Ce qui fut jadis le parti politique le plus influent de l’opposition, n’est plus qu’une caisse de résonance. Rongé par des violentes guerres de leadership intestinales, son projet de société pour le Gabon ne repose désormais que sur la vengeance de Chantal Myboto, la fille de son président.
A quelques mois de l’échéance électorale, le parti qui est en proie à ses propres démons, a perdu toute son identité. Loin de proposer aux Gabonais une vision claire du pays, tout son état-major se mobilise désormais autour des élucubrations de la fille de son président, Chantal Myboto. Certainement inspirée de la stratégie de l’ex femme d’Eto’o Fils, celle-ci a annoncé par voix de presse qu’elle se livrera, elle aussi à un exercice du type “Revenge porn”. Elle dit vouloir « lever le voile sur un mensonge à la tête de l’Etat » ce samedi.
Ce n’est pas trop tôt! En effet, en ce qui concerne les annonces pour “lever de voile”, ce n’est pas la première fois. La “bonami” d’Omar Bongo en est un expert. Ses révélations ont toujours été annoncées à grand renfort de presses soumises. Attendues, mais hélas, elles n’aboutissent jamais à rien. Par contre, ce qui est regrettable aujourd’hui, c’est de constater que tout un parti politique, l’Union nationale, mobilise son état-major pour la vengeance d’une femme. C’est inédit et ce n’est qu’au Gabon qu’on le voit.
C’est le signe avant-coureur qui démontre l’état de délabrement avancé du parti. L’Union nationale doit se ressaisir. Il est temps pour le parti de revoir ses motivations. Une élection présidentielle, c’est un homme avec son projet, face à son peuple. Myboto et les siens devraient se focaliser sur ce qui est important: le choix de son candidat (un véritable mythe de Sisyphe) et la proposition d’un projet sérieux. En bon père de famille, il est encore temps pour Myboto de préserver le reste (si reste il y a) de dignité de sa fille. Il ne profite à aucun Gabonais, qu’elle lève une fois de trop, “le voile” sur sa méthode d’ascension sociale que tout le monde connaît déjà.

mardi 15 mars 2016

Selon les Etudes de l'A I A P Ali Bongo Ondimba est le Chef d'Etat le Plus Humble du Monde

l'Agence Internationale d'Analyses Présidentielles a publiée son dernier rapport dans lequel ALI BONGO ONDIMBA serait le Chef d’État le plus humble du monde en voici la preuve dans sont pays..

LES VRAIS FAUX ACTES DE NAISSANCES SORTENT DEJA

VIDÉO A SUIVRE :


Sécurité intérieure : Ali Bongo à la DGDI

Le président de la République s’est rendu à la direction générale de la Documentation et de l’Immigration (DGDI) à Libreville, le 11 mars dernier. Il a voulu toucher du doigt la qualité des services et l’évolution de la restructuration de cette administration.

Après leur exclusion du PDG : La bande à Barro Chambrier réclame la clémence du Secrétariat général et du Distingué Camarade Président

Alexandre-Barro-Chambrier 

C’est bien de faire la fine bouche devant un aéropage de personnalités. Alors que, derrière cette arrogance affichée et une assurance digne des derniers mohicans, dans le secret, on peaufine des stratégies pour leur réhabilitation. Alexandre Barro Chambrier qui avait rameuté toute la meute des aboyeurs de la République dans le sanctuaire de son père à Ossengué, dans le 5e arrondissement de Libreville, le jeudi 10 mars dernier, est un as de la mise en scène. Du moins, avec ses amis bannis du PDG, Santiago Michel Menga M’Essone et Jonathan Ignoumba, ils ont le sens de la mystification.
Donc, pendant que le jeudi 10/3, dans un discours endiablé et incandescent déclamé sous le regard de la faune des aigris et rancuniers contre le pouvoir en place, malgré leur assurance de vouloir imposer un PDG-Héritage et Modernité, juste pour créer le flou dans l’esprit des militants et sympathisants du PDG, la bande à Barro Chambrier, qui, après son show, s’est rendue compte que la situation commençait par  devenir glissante. Et alors que leurs supporters étaient encore en train de commenter leur sortie à Ossengué, le lendemain, c’est-à-dire, le vendredi 11 mars, le trio des bannis du PDG a pris sa plume pour adresser une longue correspondance au secrétariat exécutif du parti. Dans cette correspondance les « vrais hommes » -après leur messe de la veille, au cours de laquelle, ils ont porté un coup sur le parti, en s’affabulant d’un autre PDG estampillé Héritage et Modernité-, que sont Barro Chambrier, Menga M’Essone et Ignoumba, ont repris leurs esprits pour dire le caractère quelque peu moins conforme de leur exclusion.
C’est après avoir postillonné qu’ils se sont rendus compte de leur bourde, et qu’il leur fallait au moins sauver la face. Cette correspondance a donc valeur de contrition, pour ne pas dire, qu’ils réclament la clémence du secrétariat exécutif et surtout du Distingué Camarade Président, Ali Bongo Ondimba. Tout le contenu fondé sur le non-respect des dispositions statutaires du parti n’est qu’une forme masquée pour espérer voir leur sanction levée. C’est quand même bizarre pour des gens qui ont promis à leur monde à Ossengué, qu’ils ne reculeront devant rien et personne. D’autant plus qu’ils ont même pris le risque de créer un parti.
tags

Urgent : Guy Nzouba Ndama et Ali Bongo main dans la main

C’est à travers une réception très conviviale au palais de la Présidence de la République que Guy Nzouba Ndama vient de clarifier sa position politique et dissiper les doutes quant à son soutien à Ali Bongo Ondimba, son engagement au Parti Démocratique Gabonais (PDG) et à la candidature du Distingué Camarade Président pour l’élection présidentielle du mois d’août prochain. Avec cette clarification de sa position politique, le membre du Comité Permanent du PDG pour la province de l’Ogooué-Lolo vient de tordre le coup et botter en touche tous les pourfendeurs de sa relation avec le parti, les journaleux à la solde des ennemis de la nation et à certains pseudo analystes politiques qui vendent chaque jour à nos concitoyens de la rumeur et du Kongossa.
En effet, depuis un peu plus de 3 semaines, Guy Nzouba Ndama était absent des activités officielles du PDG. De la réunion du Comité Permanent validant la candidature d’Ali Bongo après l’annonce de Port-Gentil, au Congrès National d’Investiture au Jardin Botanique, en passant par le Conseil de la province de l’Ogooué-Lolo, l’homme n’avait pas fait signe de vie et cette absence devenait « curieuse » pour certains journaux friands de la rumeur, du soupçon et sociétaires de l’abrutissement progressif de nos populations. Ils se sont fait tous les films, toutes les scènes et dialogues, ils se sont inventés toutes les histoires, même les plus fantasmagoriques.
A ce titre, plusieurs journaux télévisés comme écrits ont trouvé le moyen de se faire voir. De TV+ qui a diffusé une information selon laquelle Faustin Boukoubi, recherché par la DGR aurait trouvé refuge au domicile du Président de l’Assemblée Nationale à Echos du Nord qui titrait « Guy Nzouba Ndama est en danger de mort », en passant par leurs experts politiques aux analyses handicapées et hémiplégiques comme Jonathan Ndoutoume ou Marcel Djabioh qui est allé jusqu’à s’inventer des dialogues entre Nzouba Ndama et Ali Bongo, cette niaiserie a contribué à coincer et à retarder la conscience populaire nationale à des choses qui n’en valent pas la peine au moment où les regards des Gabonais doivent être tournés vers leur avenir.
Cette réception de Guy Nzouba par Ali Bongo doit interpeller les Gabonais sur les informations et les rumeurs infondées qu’ils reçoivent chaque jour et qui ne leur permettent pas d’avancer. Mais qui contribuent simplement à leur perdre du temps et à les distraire le plus longtemps. Hier, ils ont dit que Faustin Boukoubi était recherché par la DGR, ce fut démenti, que Guy Nzouba Ndama avait claqué la porte du PDG, cela vient d’être démenti. Quelle sera la prochaine rumeur infondée ?
Tags:

mercredi 9 mars 2016

ON NE S’IMPROVISE PAS OPPOSANT DU JOUR AU LENDEMAIN

Daniel Mengara fait des leçons à Jean Ping: on s'improvise pas opposant du jour au lendemain surtout quand on a été un pur et dur dont la carrière politique n’a dépendu, non pas de sa compétence, mais du soutien direct d’Omar Bongo ( voir video)

 


 

mardi 8 mars 2016

LES MACHINES DE L'EMERGENCE BOUGENT




Présidentielle 2016 : La Candidature d’Ali Bongo Ondimba et le bal des vampires




Depuis l’annonce historique d’Ozouri, la création d’associations en faveur d’Ali Bongo Ondimba fleurit de manière vertigineuse. S’il est évident que “l’homme de la situation” est très populaire, il n’en demeure pas moins que les notions de loyauté sont moins entretenues que la cupidité et l’opportunisme de certains. Tout le monde veut recevoir le Candidat pour lui témoigner son “soutien”.
 La vérité réside dans le fait que beaucoup étaient hésitants et ne croyaient pas à la capacité de cet homme d’État à assumer et à prendre ses responsabilités. Si la politique est truffée de transfuges et autres volte-face, il faut que les gabonais développent une vraie conscience politique avec des idéaux et des convictions. Beaucoup de soutiens de ABO étaient l’objet de railleries, voir de menaces. Aujourd’hui, tout le monde clame, à l’unisson, qu’il soutien le Président – candidat. On attend les fameuses enveloppes ! Toutes pratiques que Ya Ali proscrit au bénéfice d’un vrai et sincère engagement. Il est important que le peuple comprenne que l’élection du Président de la République est l’élément déterminant pour la vie d’une Nation. Ne pas attendre la proximité du scrutin pour créer des associations de soutien qui n’ont pour but que de se faire de l’argent. La loyauté s’entretient.

lundi 7 mars 2016

Jean Ping : « Le Gabon est une dictature pure et simple entre les mains d’une famille, d’un clan »

Sur son site de propagande "Le Gabon à l'abri de la peur, le Gabon à l'abri du besoin" Jean PING
 









                                                 Mais qui fait réellement peur???

Celui qui gère dans le calme et le respect le Gabon depuis 7 ans, sans crise sociale ou politique, ou celui qui appelle à la guerre civile à chacune de ses interventions???
Le rapport 2015/2016 d'Amnesty International ne cite même pas le Gabon dans la liste des 160 pays faisant l'objet de recommandations alors que la France et nos trois voisins, Cameroun , Congo et Guinée Equatoriale sont épinglés  :
FRANCE
République française Chef de l'État : François Hollande Chef du gouvernement : Manuel Valls
En janvier et en novembre, la capitale, Paris, et ses environs ont été la cible de plusieurs attentats visant la population, qui ont fait plus de 140 morts et des centaines de blessés. En janvier, le gouvernement a adopté de nouvelles mesures antiterroristes. Le 14 novembre, il a officiellement déclaré l'état d'urgence, qui a ensuite été prolongé par le Parlement jusqu'en février 2016

CAMEROUN
République du Cameroun Chef de l’État : Paul Biya Chef du gouvernement : Philémon Yang
Le groupe armé Boko Haram a bouleversé la vie de milliers de personnes dans le nord du Cameroun en se rendant coupable de crimes au regard du droit international, notamment d’homicides illégaux, d’attaques contre des biens à caractère civil, de détournements de biens et d’actifs, de pillages et d’enlèvements. Dans leur volonté d’empêcher Boko Haram de gagner du terrain, les forces de sécurité se sont livrées à des arrestations arbitraires, des placements en détention, des disparitions forcées et des exécutions extrajudiciaires visant des membres présumés de ce groupe. Des centaines de milliers de réfugiés venus du Nigeria et de la République centrafricaine vivaient toujours dans des conditions précaires. Les libertés d’expression, d’association et de réunion restaient soumises à des restrictions. Des défenseurs des droits humains ont fait l’objet de manœuvres d’intimidation et de harcèlement, y compris de la part d’agents gouvernementaux. Les lesbiennes, les gays et les personnes bisexuelles, transgenres ou intersexuées étaient toujours en butte à la discrimination, à des manœuvres d’intimidation et au harcèlement, bien que les arrestations et les poursuites aient été moins nombreuses que les années précédentes. Une loi antiterroriste promulguée le 23 décembre 2014 bafouait les droits et libertés fondamentaux et élargissait le champ d’application de la peine de mort.

CONGO
République du Congo Chef de l'État et du gouvernement : Dennis Sassou Nguesso
Les forces de sécurité ont eu recours à une force excessive ou injustifiée, y compris meurtrière, contre des manifestants qui s’opposaient au projet de réforme constitutionnelle. Certains ont été arbitrairement arrêtés et placés en détention, et la liberté d’expression a fait l’objet de restrictions. Les expulsions d’étrangers ont repris, visant les ressortissants de pays d’Afrique de l’Ouest. Aucune enquête n’a été ouverte sur l’opération d’expulsions collectives Mbata ya Bakolo, menée en 2014, dans le cadre de laquelle plus de 179 000 personnes originaires de République démocratique du Congo (RDC) avaient été renvoyées de force dans leur pays. Le Comité contre la torture [ONU] a exprimé sa vive inquiétude face aux actes de torture et autres mauvais traitements subis par les détenus dans la plupart des établissements pénitentiaires. Les conditions de détention demeuraient particulièrement éprouvantes.


GUINÉE ÉQUATORIALE
République de Guinée équatoriale Chef de l’État et du gouvernement : Teodoro Obiang Nguema Mbasogo
Des centaines de personnes, dont des enfants, ont été arrêtées arbitrairement, détenues et battues à la suite de troubles survenus lors de la Coupe d’Afrique des Nations, compétition internationale de football organisée sur le continent africain. Le droit à la liberté d’expression et de réunion a été réprimé, et la police a eu recours à une force excessive pour disperser des manifestations pacifiques. Des opposants politiques ont été contraints de retourner dans leur village, avec interdiction de le quitter.
                                                         Qui est à l'abri du besoin???
Dans son édition du 18 février 2015 Times Gabon rapporte : Jean Ping, L’éternel ministre des affaires étrangères et hommes d’affaires, dispose d’une fortune colossale qu’il gère avec ses fils. Il a longtemps utilisé sa position de Président de la commission de l’Union Africaine pour que ses enfants bénéficient de marché en Afrique.

Tout le monde sait au Gabon M. PING que vous êtes multimillionnaire et que vous comptez sur votre fortune pour acheter le vote des Gabonais

L’opposition maudit la famille Myboto pour ce “faux débat”.

Myboto-Gabon
On savait que le livre de Pierre Péan était une commande de la famille Myboto, afin de se servir d’un argument dit d’autorité. Cette famille a convaincu la majorité de l’opposition à ne parler que de l’acte de naissance du Président Ali Bongo Ondimba. Ce dernier a tendu la main en réhabilitant l’Union Nationale et en insufflant une énergie au Conseil national de la démocratie (CND) afin que les partis politiques puissent dialoguer. La famille Myboto tirait les ficelles en demandant aux leaders d’exiger la destitution du Président de la République gabonaise. Elle croyait dur comme fer que l’élection présidentielle de 2016 se fera sans le fils d’Omar Bongo Ondimba. Jean Ping, convaincu que c’était une hérésie, a entrepris sa tournée et c’était le début de la tension entre les deux anciens barons du régime.
Plus d’un an à entretenir ce faux débat, l’opposition est allée de désillusion en désillusion. Les Myboto ont dit que l’acte de naissance d’Ali Bongo Ondimba n’était pas à Nantes. En juin 2015, La mairie de Nantes a dit le contraire en délivrant ledit acte de naissance. Les Myboto se sont égosillés à dire que l’acte de naissance qui porte la signature de Serge William Akassaga était faux car il s’agissait d’une transcription. Cette élucubration a été fortement rejetée par le Tribunal de première instance de Libreville. Quant à la préfecture de Nantes, elle a classé sans suite la plainte des Myboto. Le 5 mars dernier, l’avocate d’Ali Bongo Ondimba a fait la lumière sur toute cette histoire. L’opposition s’est sentie instrumentalisée par la belle famille de Paul Marie Gondjout. Pour preuve, quinze formations politiques de l’opposition ont décidé de soutenir la candidature d’Ali Bongo Ondimba.
La famille Myboto a tiré une balle dans le pied de l’opposition gabonaise. Elle est déboussolée. Elle n’a pas été à l’écoute des Gabonais (parce que très prise par ce faux débat) pour comprendre leurs difficultés et leurs aspirations. Elle en veut énormément à la famille Myboto d’avoir ouvert la voie à un deuxième mandat d’Ali Bongo Ondimba.
Tags:

Une Video à Regarder Attentivement vous compredrez pourquoi ALI est l'homme de la Situation


Urgent: Présidentielle 2016: 15 partis de l’opposition gabonaise rejoignent les rangs de l’homme de la situation

l-opposition-Support
Loin d’être un effet d’annonce, la victoire d’Ali Bongo Ondimba, candidat à sa propre succession lors de présidentielle de 2016, vient de dévoiler les prémices d’une réussite implacable que seuls les malvoyants d’une certaine opposition refusent d’accepter.
En effet, ce samedi 5 mars, l’amphithéâtre de l’Ecole Normale Supérieure de l’Enseignement Technique ( ENSET) de Libreville, a refusé du monde. Issus de toutes les couches sociales, jeunes et vieillards, soit près de 2300 jeunes, autour de 15 patrons des partis politiques de l’opposition, ont haussé le ton quant à leur soutien indéfectible au candidat du développement, pour lui dire «Oui», sous le label d’une convention appelée Convention Républicaine de Soutien au Candidat Ali Bongo Ondimba (CRESCABO).
A quelques mois des joutes électorales, les soutiens massifs pleuvent de partout en faveur du chef de l’État, Ali Bongo Ondimba pour qui, l’Egalité des Chances (dont le programme avait été lancé le 23 février dernier et qui consiste à donner aux jeunes de toutes les couches sociales, dynamiques et ambitieux, la possibilité de se frayer une place dans toutes les instances de la République) est un préalable pour amorcer le développement du pays.
C’est donc dans cette optique que les jeunes et les personnes âgées de l’opposition gabonaise ont, mûrement brassé leurs réflexions pour réaliser que «Ya Ali, c’est pas le bon choix mais c’est le meilleur choix qui puisse exister». Représentant une quinzaine de partis politiques de l’opposition farouche, ils se sont pliés pour soutenir le patron actuel de l’exécutif gabonais.
C’est chose vue, Ali Bongo Ondimba, l’homme très populaire qui amasse les foules tel un tsunami, et qui peut donc compter désormais sur le soutien sans faille des jeunes du MDJS, de l’UPG, de l’URDP, du PSU, du FPU, de l’APSG, du CCDG, du PDN, du RGUP, de l’UGD, de l’UPN, du FER, du GV, du PNG et du RDD. Tous ensemble, pour une Convention Républicaine de Soutien au Candidat Ali Bongo Ondimba (CRESCABO).
Notons que le Directeur de Cabinet Adjoint du Chef de l’État, Samuel Ngoua Ngou et Cyriaque Mvouranziami, Directeur Adjoint du Cabinet Politique du Chef de l’État, cumulativement Directeur du Protocole d’Etat, ont brillé de leurs présences pour représenter valablement Ali Bongo Ondimba à cette convention organisée par ladite convention.
«Notre présence ici doit nous emmener à une signification, autant que nous sommes, pour soutenir un seul homme, j’ai cité, Ali Bongo Ondimba pour la victoire à l’élection présidentielle de 2016, Ya Ali, c’est lui et c’est avec lui que le Gabon avance bien et sereinement. Ali Bongo Ondimba, a défié la nature en créant la route Port-Gentil-Omboué et donc, nous encourageons tous ensemble, les actes posés par Ya Ali comme nous l’appelons affectueusement», à indiqué Bonaventure Nzigou Manfoumbi, porte-parole du CRESCABO.
Tags: