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vendredi 4 mars 2016

Adhésion au PDG: Myboto, Marc Ona et Jonas Moulenda !

 Myboto,-Marc-Ona-et-Jonas-Moulenda
Nous ne comprenons pas la soudaine sympathie qu’éprouvent les opposants pour les problèmes du PDG. Les derniers posts de Marc Ona Essangui nous laissent interrogatifs. Pourquoi tout à coup, alors que l’opposition n’a jamais pu résoudre ses problèmes internes et s’est souvent divisée ( UN, UPG, PGP…), la quasi-totalité de ses membres veut jouer les analystes pour le PDG. Cette volonté d’être en réalité le pompier-pyromane est fortement soutenue par le site donneur de leçons qui au fur et à mesure qu’on se rapproche de la présidentielle, se positionne politiquement en faveur de l’opposition gabonaise, comme le témoigne son article: “Présidentielle 2016: une pétition contre la participation d’Ali Bongo”, article inspiré et financé par l’opposition.
Si le Chef de l’Etat a parlé de construire des ponts dans sa déclaration de candidature, l’analyse que nous faisons est qu’il y a souvent eu des ponts entre les acteurs de l’opposition, notamment Jean Ping et certains membres du PDG dans l’objectif que ces derniers organisent l’implosion de ce parti pour servir les intérêts de l’opposition qu’ils rejoindraient une fois la mission accomplie.
Sauf que le MOGABO lancé comme une comète avait sorti les serpents du bois. En réalité, ces traîtres du PDG avaient dévoilé leur jeu bien tôt et c’est ce qui a permis au parti de les identifier et de les neutraliser. Si les débats à l’intérieur du PDG peuvent être une cause noble, l’entêtement de certains cadres de les porter à la place publique, l’était moins. Ensuite nous arrivons donc à comprendre que dans leur volonté de nuire au parti et en cohérence avec leur volonté de servir leurs maîtres de l’opposition, ils (PDGistes profito-situationnistes ) avaient pour ambition d’organiser le dernier chantage autour de la candidature naturelle d’Ali Bongo lors du congrès du PDG.
Encore une fois, le Distingué Camarade Président n’est pas né de la dernière pluie et contrairement à la croyance populaire inoculée dans l’esprit de l’opposition, il est un très grand stratège politique. Le Chef de l’Etat, conformément aux statuts et règlement du parti qui font du Président du parti le candidat naturel et de surcroît quand il est en même temps Président de la République, a annoncé sa candidature et immédiatement investi par les instances du parti que sont le Bureau politique et le Comité Permanent.
A partir de ce moment, comme le dernier soubresaut du cabri mort, le pont entre le PDG et l’opposition, croyant fédérer autour de sa dissidence, s’est finalement retrouvé seul, comme un soldat perdu dans la jungle de l’Amazonie. Le PDG est le seul parti au Gabon qui a toujours su se rassembler après une tension ou un départ. L’hymne du parti qui retentissait ce jour-là a toujours su inspirer la majorité. Ne dit-on pas que la démocratie est majoritaire, pas unanime.
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