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vendredi 23 mars 2012

LA CHIRURGIE A MAINS NUES


PEUT-ON CROIRE A UNE CHIRURGIE A MAINS NUES ? Pratiquer par cet homme investi d’une puissance divine ou mystiquo vampirique ? La réponse est non ! À la première vue de cette vidéo réalisée dans le contemporain nous pouvons affirmer l’impossibilité d’une telle opération.
Voir cette vidéo

 
          Mais lorsque nous lisons les saintes écritures nous voyons que Dieu a chirurgicalement, a mains nues opérer  ADAM pour créer EVE en retirant de celui-ci l’une de ses cotes (Gen. 2 : 21-22) ; et la bible nous enseigne sur ces termes : CAR RIEN N’EST IMPOSSIBLE A DIEU. (Luc. 1 : 37) Ainsi donc les hommes qui croient à l’existence du seigneur sont capable de réaliser des choses auxquelles les hommes charnels ne croiront jamais. Arrivée à l’époque du christianisme Jésus dit ceux qui auront la foie feront des prodiges au-dessus de ce que je fais présentement
         Apres cette analyse nous croyons que ce que fait cet de Dieu est possible il suffit donc de croire….. Amen !
 

jeudi 22 mars 2012

Coup d'État au Mali un mois avant l'élection présidentielle

Des militaires maliens ont pris jeudi 22 mars le pouvoir à Bamako, pour selon eux, en finir avec le manque de moyens dans la lutte contre la rébellion touareg et les groupes islamistes dans le nord du pays.

Le président Amadou Toumani Touré est dans un camp militaire, avec des membres de sa garde présidentielle, selon les forces loyalistes.
Avec cet article

Jeudi 22 mars vers 4 heures, des militaires en uniforme sont apparus à la télévision nationale qu'ils occupaient depuis la veille et ont annoncé avoir mis « fin au régime incompétent » en place à Bamako, avoir dissous toutes les institutions, suspendu la constitution et décrété un couvre-feu. Le coup d’État actuel remet en question le processus électoral : une présidentielle dont le premier tour était prévu le 29 avril.


Le porte-parole de ces soldats, le lieutenant Amadou Konaré, a affirmé qu'ils avaient agi pour faire face « à l'incapacité » du régime du président Amadou Toumani Touré « à gérer la crise au nord de notre pays », en proie à une rébellion touareg et aux activités de groupes islamistes armés depuis la mi-janvier. Le lieutenant Konaré, entouré d'une dizaine d'autres militaires, parlait au nom d'un Comité national pour le redressement de la démocratie et la restauration de l'Etat (CNRDRE).
Le lieutenant Konaré a également justifié le coup d'Etat par le « manque de matériel adéquat pour la défense du territoire national » mis à la disposition de l'armée pour lutter contre la rébellion et les groupes armés dans le nord, et « l'incapacité du pouvoir à lutter contre le terrorisme ». La junte a « pris l'engagement solennel de restaurer le pouvoir » civil et de mettre en place un gouvernement d'union nationale.

«Nous contrôlons le palais présidentiel»

« Nous contrôlons le palais présidentiel », avait auparavant annoncé un soldat mutin, un autre affirmant que plusieurs personnalités du régime du président Touré, dont le ministre des affaires étrangères, Soumeylou Boubèye Maïga, et celui de l'administration du territoire, Kafougouna Koné, avaient été arrêtées.
Le président malien Amadou Toumani Touré, que des militaires ont affirmé avoir déposé, est à Bamako dans un camp militaire avec des membres de sa garde présidentielle, selon une source militaire loyaliste.
La France, ex-puissance coloniale, a appelé « au respect de l'ordre constitutionnel » et condamné « tout recours à la violence ». Paris suspend également toutes ses coopérations régaliennes avec Bamako. Le département d’État américain a pressé le Mali de régler les tensions « à travers le dialogue et non la violence ». Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a « appelé au calme et à ce que les doléances soient résolues pacifiquement ». La Cedeao et l'Union européenne ont également condamné ce putsch.

Les frontières fermées, des tirs à Bamako

Les frontières du pays on été fermées a annoncé le CNRDRE, comme l'aéroport de Bamako selon une source aéroportuaire malienne. Les vols  au départ et à destination de la capitale malienne sont annulés « jusqu'à nouvel ordre », a t-elle ajouté.
A Bamako, des tirs sporadiques de sommation étaient entendus dans plusieurs quartiers, selon des témoins. La circulation était très fluide, quelques automobilistes et des motocyclistes étaient visibles sur les principales artères.

Rébellion touareg et d'Al Qaida

La journée de mercredi 21 mars avait commencé par une mutinerie dans un camp à Kati, ville garnison près de Bamako, puis s'était étendue à la capitale elle-même dont les soldats ont parcouru les rues en tirant en l'air, semant la panique. « Nous en avons marre de la situation dans le nord », a affirmé l'un d'eux. Début février, des femmes et proches de soldats avaient manifesté dans plusieurs villes, dont Bamako, pour dénoncer le silence sur la situation de ces soldats et la « mollesse du pouvoir » face à la rébellion
Le Mali est confronté depuis mi-janvier à des attaques du Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA) et d'autres rebelles touareg, dont des hommes lourdement armés qui avaient combattu pour le régime de Mouammar Kadhafi, qui ont pris plusieurs villes du nord du pays.
Le gouvernement malien a en outre accusé Al Qaida au Maghreb islamique (Aqmi), qui a des bases dans le nord du Mali d'où elle opère dans plusieurs pays du Sahel, de combattre avec le MNLA. Aqmi a été en particulier accusée d'avoir exécuté sommairement près d'une centaine de soldats maliens à Agulhok.
AFP
 

Ali BONGO ONDIMBA Adresse un Message de Soutien à Nicolas SARKOZY et Condamne les Massacres Terroristes commis en France

SUR CETTE PHOTO; LES VICTIMES

A la suite du massacre commis dans les villes de Toulouse et Montauban (Sud de la France) par un terroriste sans scrupule, le Président de la République Gabonaise, S.E Ali BONGO ONDIMBA, a adressé un message de soutien à son homologue français, Nicolas Sarkozy, à la suite des attentats qui endeuillent ce pays « ami », avec la mort le 11 mars dernier de trois soldats (à Montauban et Toulouse), et quatre personnes, dont trois enfants, le 19 du même mois devant une école juive, dans la région de Toulouse.

Dans son message, le Chef de l’Etat  dénonce avec la plus extrême vigueur ces crimes odieux qui sont en contradiction avec les valeurs de tolérance et de fraternité chères à la République française.
"Il a également déploré que des victimes innocentes en soient les cibles. M. Ali BONGO ONDIMBA.Il a également déploré que des victimes innocentes en soient les cibles.
                
Aussi, a-t-il présenté ses plus sincères condoléances aux familles et au peuple français tout entier à qui il a exprimé toute la solidarité du peuple gabonais dans ces moments particulièrement douloureux.
 
L'Union des Jeunes du Parti Démocratique Gabonais de France s'associe au Président de la République Ali BONGO ONDIMBA pour apporter son soutien aux familles des victimes ainsi que sa solidarité à toute la jeunesse de France.

vendredi 16 mars 2012

Entretien Exclusif du Président ALI BONGO ONDIMBA sur France 24:Le Président Face à Alain Foca Recadre sans Langue de Bois! VIDEO

Le président de la République Ali BONGO ONDIMBA s’est livré à une interview avec le journaliste Alain Foka de Radio France internationale (RFI). L’entrevue a été diffusée le Mercredi 14 mars 2012 sur les antennes de la chaine internationale France24, télévision pour laquelle elle a été réalisée.
Plusieurs sujets d'actualités ont jalonné cet échange que le GABON VRAI vous laisse découvrir en exclusivité, sur cette video:
 

Auteur le GABON VRAI

mercredi 7 mars 2012

CONDOLEANCES DU BLOG LE GABON VRAI AUX FAMILLES CONGOLAISES

LES MOTS NOUS MANQUENT















C'est avec beaucoup de tristesse et beaucoup d'émotion que nous assistons, impuissants, depuis quelques jours, à un terrible drame.
La série d'explosions qui a frappé Brazzaville ce dimanche a fait au moins 200 morts et 1340 blessés et sans abris à Brazzaville.
Dans ces moments particulièrement douloureux et dramatiques ;  nous tenons à exprimer aux familles des victimes et à tout le peuple congolais nos condoléances les plus sincères, et à leur assurer mon soutien dans cette terrible épreuve.

Les bloggeurs du GABON VRAI  sont avec vous.

lundi 5 mars 2012

LA RENGAINE DE L'AFFAIRE DITE DE BIENS MAL ACQUIS : ENTRE AMALGAMES ET CONDESCENDANCE

 Les revoilà qui nous bassinent les tympans avec leur BMA (à ne pas confondre avec Bien Malheureux et Maladroits Articles) !

Comment en serait-il autrement dans  un conglomérat de journaleux affairistes qui font des prétendus Biens mal acquis leur fonds  de commerce épisodique, de politiciens couverts du manteau de la société civile et pas assez courageux pour assumer leurs options et de la clique du plus grand malade imaginaire et ridicule de tous les temps (suivez mon regard !).
 
Ces attaques par presse bien pensante interposée et manipulée nous rassurent. 

En effet chaque fois qu’elles interviennent, elles  coïncident avec de nouvelles avancées en ce qui concerne le Gabon Emergent sous la conduite du Président Ali BONGO ONDIMBA.

Chaque fois que le Gabon innove, inscrit des réussites à son actif, élargit son cercle d’amitié, d’investisseurs, sa notoriété internationale, le gang des apprentis-sorciers et ensableurs de couscous se livre à son exercice favori : l’amalgame, le mensonge nourris à la sauce du préjugé tenace de rédactions qui ne connaissent l’Afrique que dans les livres de géographie, les mythes et clichés. 

Et les voilà avec leurs relais et tocards identifiés et connus de tous qui franchissent le Rubicon en essayant de salir et le Président Ali contre qui ils n’ont rien trouvé  malgré moult investigations mais pis contre la Première Dame qui n’a pas attendu la consécration de son époux à la tête de l’Etat pour se bâtir une fortune. Dussé-je blesser sa modestie, Madame vient d’une grande famille parmi les plus grandes fortunes du continent et c’est utile de le dire et de le rappeler pour que nul n’en ignore.
 
Mieux, en femme d’affaires entreprenante, elle a créée, à la sueur de son front, des structures et des emplois au Gabon il y a des années. Vos informateurs et acolytes tapis dans l’ombre le savent.
 
 La malhonnêteté consiste par un glissement vicieux à faire croire qu’une carte de crédit de prestige personnelle soit alimentée par des fonds publics.

Ceci est tout simplement détestable et inélégant vis avis d’une Grande Dame, proche de ses concitoyens, discrète et efficace, une Dame de cœur et de classe comme on aimerait bien en voir dans les palais du monde entier. La dernière CAN 2012 sans SIDA en est une illustration internationale.

Mais que peut-on attendre d’autre d’une meute de gueux vaniteux, jaloux, paternalistes et condescendants ?

Le Sieur  Bourdon, avocat à ses heures perdues,  est en plein dans son opération de communication. Il se substitue aux pétitionnaires nationaux, s’acoquine du président du ridicule, qui chaque jour qui passe voit son rêve de Président ou son désir revu à la baisse en premier PM du Wolen Ntem (hélas !) s’évaporer face aux réalisations visibles dans tous les domaines par chacun de nos compatriotes.
 
 Cette campagne médiatique et judiciaire est et restera vaine en ce qui concerne le Gabon.

Sous l’impulsion du Président Ali BONGO ONDIMBA,  qui lie l’acte à la parole, le Gabon  suscite l’intérêt de pays développés et  émergents, d’investisseurs de divers horizons, tant des pays et aires de coopération traditionnelle et historiques auxquelles il est lié par des siècles d’histoire, de langue en partage notamment la France que  des nouveaux acteurs de l’économie mondiale.

Avec Ali BONGO ONDIMBA, le Gabon s’est engagé à mettre en place les facteurs irréversibles de développement : les infrastructures, l’énergie et le capital humain, la bonne gouvernance.
 
 Il a su avec lucidité et courage faires sienne la maxime selon laquelle « un Etat a des intérêts » en prenant la décision d’arrêt d’exportation des grumes et d’une nécessaire première ou seconde transformation locale, en faisant entrer le Gabon dans le capital d’ERAMET, en décidant, outre l’élaboration de nouveaux codes minier et pétrolier, de la création de la Société nationale des hydrocarbures , d’une nouvelle politique énergétique, du partenariat avec Bechtel dans le cadre de l’Agence Nationale  des Grands Travaux, de la mise en place d’un Fonds National  Souverain parmi une multitude d’initiatives fortes et structurantes.
 
C’’est au moment où un leader africain de la nouvelle génération fait mentir quotidiennement les pronostics ubuesques de quelques perdants éternels encore assommés ou convalescents et autres oiseaux sinistres par la clarté de sa vision, la déclinaison méthodique de son plan stratégique et des signaux forts de bonne gouvernance, que l’acharnement atteint son paroxysme avec des procédures tout aussi ordurières que la psychologie de leurs instigateurs, qu’il s’agisse des « Has been » de la Françafrique, aux accès coupés vers les palais ou de leurs relais et acolytes locaux et autres Oncles Tom  tropicaux, apprentis  en réactivation des réseaux décadents et pirouettes en tous genres.
 
La présente « War dance », sorte de danse du scalp et de préparation psychologique des agitateurs de quartiers et conspirateurs et leurs moult agitations ne continueront qu’à les confiner à la périphérie! A d’autres temps et d’autres générations, d’autres mœurs, d’autres valeurs, d’autres ambitions ! Il ne s’agit ni plus ni moins que des dernier coups de sabots du cheval mourant (The last kick of the dying horse).

L’option du Président Ali BONGO ONDIMBA porte la marque des nouveaux dirigeants, d’un nouveau partenariat, du co-développement et se heurte aux vicissitudes et vestiges de cercles groupusculaires de la Vieille France, celle de la mafia conspiratrice derrière ses rideaux de fumée selon l’expression de Pierre Péan.
 
 Les tentatives des offreurs de services locaux, rats de rédactions ou autres activistes de l’hexagone habitués à vivre de tels fonds de commerce seront vaines. Le Gabon ne laissera pas utiliser une quelconque division avec la France.  
 
Au Gabon, malgré les frustrations et la hâte de vivre l’impact des changements en cours, les populations suivent et voient la démarche, le style, les effets des décisions du Président Ali BONGO ONDIMBA, au service de la Nation.

En France : l’opinion publique moralisatrice par nature, comprendra qu’il faille aujourd’hui moraliser tout ce qui était immoral hier et que tout comme la France, les autres pays en développements puissent aspirer à la gouvernance et à l’émergence.
 
 Si, le reproche commun et dominant est la constitution de patrimoines mobiliers et immobiliers faramineux par des dirigeants dans les pays occidentaux, sur la base de l’extorsion des fonds publics de leur pays et populations appauvries, l’information exacte doit prévaloir sur le lynchage médiatique et la condescendance.

Les scandales,  lorsqu’ils sont établis, d’un bord à l’autre de la Méditerranée et du Sahara, doivent être dénoncés et punis. Tous les scandales sans exclusive, indépendamment de l’exercice ou non de certaines fonctions ou de la posture du moment. Toute liste devra être inclusive,  y compris les abonnés au  pouvoir d’un hier récent.

Au sein d’une opinion publique, d’une action politique et d’une démarche économique qui devient de plus en plus internationale, la question n’est pas sans importance de voir ainsi livrées en pâture des personnalités qui effectuent depuis des années le juste combat de la survie de leurs Etats mais encore plus à l’encontre d’un dirigeant , symbole du nouveau leadership et de la nouvelle génération comme Ali BONGO ONDIMBA.

Elle engage en effet, non seulement leur réputation en tant qu’individu, mais plus encore, la capacité des peuples qu’ils représentent à exister dans l’âpre bataille que se mènent les nations, pour obtenir le plus de prospérité matérielle, la plus grande extension de libertés et le plus grand rayonnement culturel et social pour leurs peuples.
 
Au Gabon c’est tout le sens du pilotage par la vision pour aller vers l’émergence, le développement, le partage dans la paix, l’unité et la cohésion nationales