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mercredi 31 décembre 2014

Jean Ping Et Divungui Le Gain Et Les Mesures D’Ali Bongo



Jean Ping Et Divungui Le Gain Et Les Mesures D’Ali Bongo
         Ne nous trompons pas les uns des autres, les analystes de l’actualité Nationale et internationale piochent encore sur le terrain de Ping et celui de Divungui.

        Les sources avérées ont publiées des articles sur le sujet qui démasque et voici alors la vérité sur le mécontentement de quelques leaders de l’opposition Gabonaise. Disons-le; Entre feu Bongo Ondimba et Ali Bongo, la vision sur les fonts public est très différente en somme, le premier constat d’Ali dès son arrivée au pouvoir, l’a amené à conclure que les collaborateurs de son prédécesseur ne l’étaient que pour le gain et non pour le bien-être du peuple. Que est ce qui se passe réellement entre Ping, Divungui, et le Président de la République cette question taraude sans suite les consciences de Gabonais et voici ce que nous révèlent les proches de ces deux leaders ; Monsieur Jean Ping  Ministre des hydrocarbures, de l’époque de Feu Bongo Odimba , les gabonais ne pouvaient imaginer qu’a cette époque, il percevait 1% du revenu pétrolier  Gabonais à hauteur, d’ 1.000.000.000 de nos francs par mois imposer sur l’ensemble des sociétés pétrolières installées à Port Gentil.

         Monsieur Divungui l’opposant de la dernière minute quand à lui à cette même époque, dans les mêmes circonstances mafieuses percevait de la société  d’énergie et d’eau du Gabon SEEG, la bagatelle somme de 500.000.000 de nos francs par mois sous prétexte d'une location de son immeuble bâti grâce à un financement   douteux   abritant les services de la SEEG à Port Gentil.

          C’est donc en 2009 quand Ali Bongo Ondimba accède à la Magistrature suprême souhaite d’y voir claire et se propose de revisiter les contrats qui liaient les uns et les autres. A la lumière de cette mascarade financière, le Chef de l’Etat décide donc de mettre un terme à ce cambriolage de l’argent du pays,  au mois de Mars dernier ce qui justifie la colère de Ping et de Divungui. En effet si cette mascarade a été continuelle ou approuvée par Ali Bongo Ondimba, nul doute ces deux personnalités devaient demeurer dans la majorité Présidentielle de l’émergence, laquelle elles ont d’ailleurs  témoignées la légitimité de son Président et l’ont félicité en 2009. Voici ce que nos politicards n’ont pas dit aux Gabonais lors de leurs déclarations respectives de ralliement à l’opposition.     

mercredi 17 décembre 2014

Didjob Divungui di Dingue; l'homme aux deux Jugements rectificatifs




Didjob Divungui di Dingue; l'homme aux deux Jugements rectificatifs
de naissance aux incohérences flagrantes et surprenantes! Le premier à votre gauche, qui est pourtant établi dans le "District de Port-Gentil" comme il l'est indiqué en haut à gauche, portant deux numéros qui se superposent (il faut dire que le document a été falsifié dans la précipitation), celui d'origine qui est de 306 et sur lequel a été apposé au stylo un autre numéro, le 402(vous comprendrez pourquoi en regardant le second à droite, le numéro de jugement est identique au premier.

               Mais cette fois dactylographié, 402), porte cumulativement les signatures et cachets du Secrétaire Général de Mairie et de l'Adjoint au Maire de Libreville (!!!). Allez-y comprendre comment le sieur Divungui a fait établir son jugement rectificatif à Port-Gentil, avant de le faire signer à Libreville avec un "rectificatif" au stylo de son numéro! Mais pour mieux comprendre cette incohérence de faussaire, il suffit de regarder le second Jugement rectificatif de naissance de l'enfant Dijob, lequel, identique au premier, ne porte aucune signature du Tribunal comme l'autre, mais plutôt celle du Maire de Port-Gentil. Ces deux titres qui semblent à première vue identiques, ont un point commun de plus, l'absence d'une mention essentielle: "transcrit dans le registre d'état civil". Peut-etre qu'il n'y avait plus d'encre à ce moment (rires). Il faut dire que pour notre "Futur Président de Transition" qui sera coopté le Samedi 20 Décembre prochain comme l'indique le nouveau congossa divulgué par Jean Ping, aura du mal à justifier ou expliquer la légalité de son état civil! Cher Dijob, le business te réussit mieux que la politique, inutile de forcer... alors mieux tu laisse


mardi 16 décembre 2014

L'Indochinois Te Ping poursuivi pour «faux et usage de faux», fraude à la nationalité Gabonaise


Copie certifiée conforme à la copie certifiée conforme à l’original. Ping est vraiment « original » !
C'est notre consœur "La Griffe" qui l'a si bien résumé dans sa dernière livraison:
" Jean Ping est également logé dans la même enseigne. En effet, le jugement supplétif qu’il a fait illicitement légalisé le 31 décembre 2004 avait été jugée « copie certifiée conforme à l’original » alors qu’en réalité cette copie n’est conforme qu’à la « copie certifiée conforme à l’original » « présenté le 26 octobre 2001 ». Ce qui est parfaitement illégal car on ne légalise pas un document sur la base d’une photocopie légalisée. Et Ping le sait très bien.
Il se trouve seulement que c’est ce faux document que Ping exploite dans ces différentes procédures administratives. Et il est d’autant doublement faux qu’il n’est pas un acte de naissance au sens de la loi gabonaise.
Mieux : on ne sait pas comment, et c’est valable pour Eyeghe Ndong, un homme dont la date de naissance est bien connue a pu bénéficier d’un jugement supplétif. Cela même s’il raconte qu'il est né dans un chantier d’exploitation forestière alors qu'en réalité il est arrivé au Gabon après la guerre d'Indochine.
Et c'est d'autant plus vrai que contrairement à son compère Eyeghe Ndong, ce ne sont pas les parents de Ping qui ont saisi le chef du district d'Omboué pour l'établissement du jugement supplétif de leur fils. Mais c'est plutôt l'élève de l'école officielle d'Omboué Jean Ping lui-même qui est allé déclarer sa propre naissance à l'âge - tenez-vous bien - de douze (12) ans. Et avec pour témoin ni son père, ni sa mère. Une démarche plutôt extraordinaire."
La justice a été saisie, l'inculpation du faussaire devrait suivre.
L'Indochinois Te Ping poursuivi pour «faux et usage de faux», fraude à la nationalité Gabonaise

L'Equato Juan Eyeghe Ndong poursuivi pour «faux et usage de faux», fraude à la nationalité Gabonaise


La déclaration de naissance d’Eyeghe Ndong légalisée en 2008 par le neveu d’Eyeghe Ndong. Un vrai trafic de faux en écriture publique
C'est notre consœur "La Griffe" qui l'a si bien résumé dans sa dernière livraison:
" La situation est plus que compliquée pour Eyeghe Ndong qui est pourtant né à Libreville un certain 12 février 1946 de parents lettrés et dans une agglomération administrativement organisée. Et comment se fait-il que c’est seulement en 1958, c’est-à-dire à l’âge où Eyeghe Ndong avait 12 ans, que ses parents ont songé à lui établir un jugement supplétif le 10 mars 1958. Jugement qui a permis l’établissement de cette déclaration de naissance faite le 21 avril 1958.
Et c’est ce document que Jean Eyeghe Ndong utilise dans ses différentes démarches administratives, dont les dossiers électoraux. Or, au regard de la législation actuelle, ce document n’est nullement un acte de naissance au sens administratif du terme.
Surtout que ce bout de papier n’a pu être légalisé, en toute illégalité, qu’au moment où l’ancien Premier ministre Jean Eyeghe Ndong avait fait nommer son propre neveu, sieur Anselme Mebale-Eyene, deuxième vice-président de la Délégation spéciale de la Mairie du 2ème arrondissement. Et ce fils de l’ancien consul du Gabon en France n’a pas failli à la tâche pour laquelle il a été nommé : celle de fabriquer un état civil à son oncle Eyeghe Ndong.
De fait, ne possédant pas d’acte de naissance au sens de la législation gabonaise, Eyeghe Ndong est à ce jour un citoyen Français. Et que les différents mandats et fonctions qu’il a occupés sous la fausse citoyenneté gabonaise, il les a frauduleusement obtenus.
Par conséquent, tout résidant du deuxième arrondissement est légitimement fondé à saisir les tribunaux pour invalider et son mandat de conseiller municipal, et sa candidature au poste de sénateur du premier siège du 2ème arrondissement.
S’il veut être éligible en 2016 il a donc déjà intérêt à régulariser rapidement sa situation qui frise d’ailleurs l’association de malfaiteurs en bande organisée."
La justice a été saisie, l'inculpation du faussaire devrait suivre.
L'Equato Juan Eyeghe Ndong poursuivi pour «faux et usage de faux», fraude à la nationalité Gabonaise

Le Congolais Zacharias Myboto poursuivi pour «faux et usage de faux», fraude à la nationalité Gabonaise

Ainsi en 1958, il y avait un ordinateur à Franceville pour réaliser ce formidable traitement de texte. Sacré Myboto !
C'est notre consœur "La Griffe" qui l'a si bien résumé dans sa dernière livraison :
Et pour terminer en beauté, Myboto, pourtant venu du Congo à 15 ans, nous sort carrément la botte qui tue avec son jugement rectificatif de 1958 qui a eu la chance unique d'avoir été saisi sur ordinateur à Franceville. Comme pour ne pas faire dans l'aberration à moitié, voilà que le même document, portant pourtant l'entête de la " République française ", revêt miraculeusement (en bas à droite) le cachet de la République gabonaise. Dans le banditisme, on ne saurait faire mieux !
Il faut peut-être ajouté que ce chiffon a eu le mérite de nous donner deux enseignements capitaux.
Le premier relève carrément de la révélation scientifique. En effet, en faisant traiter, en 1958, son jugement rectificatif par le logiciel Word de Microsoft, Myboto porte ainsi un cinglant démenti à Bill Gates qui se vante de la paternité de cette invention exceptionnelle. Cela, alors que l'exploit de Myboto montre solennellement que Word a été créé en 1958 à Franceville.
Il ne reste plus à Myboto qu'à réclamer les droits d'auteur à Bill Gates.  
Le second est que Myboto a réussi la prouesse de rajeunir de 2 ans. C'est en tout cas ce que nous révèle le fameux jugement rectificatif. Lequel stipule nettement et sans rire que " le nommé Myboto Zacharie, fils de Toundjoka Pierre et de Biyoumbou est né à Omoï-Maïssa vers mil neuf cent trente huit et non vers mil neuf cent trente six comme l'indique le jugement d'acte de naissance n°54 du 20 décembre 1952 ". Résultat: Myboto n'a plus que 76 ans au lieu de 78 ans. Chapeau !
La justice a été saisie, l'inculpation du faussaire devrait suivre.
Le Congolais Zacharias Myboto poursuivi pour «faux et usage de faux», fraude à la nationalité Gabonaise

L'Ukrainien Jacques T'Katchenko poursuivi pour «faux et usage de faux», fraude à la nationalité Gabonaise


Voici un acte de grand gangstérisme. Un acte qui prouve bien le manque de respect que ce type a pour le Gabon. Et surtout du mépris qu'il éprouve à l'égard des populations gabonaises qu'il prend pour des imbéciles au point d'aller fabriquer cette fausse déclaration de naissance. Et pousser le culot jusqu'à la dater de 1944.
Et comme pour T'Katchenko fils, le Gabon est un verger de bêtas, il n'a pas hésité à faire mentionner, noir sur blanc, que la " République Gabonaise " existait déjà en 1944. Ce qui relève du grossier, de la falsification et finalement de la sorcellerie. Sans le moindre risque de nous tromper, on peut affirmer que dans le faux, personne dans ce pays n'avait atteint un tel niveau.
C'est donc ce faux document que T'Katchenko fils a fait légaliser en septembre 1966 par un anonyme Secrétaire général de la Mairie. Un autre exploit quand on sait que la loi fait obligation de mention du nom de l'autorité ayant assumé la légalisation de l'acte. Mais ce n'est point important pour un homme qui a connu le faux et l'escroquerie depuis son berceau.
Il faut préciser que notre homme, qui n'a presque pas fait l'école, était un peu obligé de fabriquer ce faux pour trouver un petit boulot de videur au Cercle des Métis. Raison pour laquelle il s'y est pris en 1966. C'est-à-dire à l'âge de 22 ans.
Maintenant qu'il vient ainsi de faire confondre, il reste à savoir quelle validité accorder à ses pièces d'identité établies sur la base de ce faux document.
La justice a été saisie, l'inculpation du faussaire devrait suivre.

L'Equato Casimir Mba dit Oyé poursuivi pour «faux et usage de faux», fraude à la nationalité Gabonaise


Un véritable artiste, cet Oyé Mba. 
Voilà quelqu'un qui nous présente un document délivré en 1954 par l'autorité coloniale.
Or il se trouve que ledit document est signé non pas par le chef du district comme il devait en être le cas, mais plutôt par le préfet de Ntoum, un certain Michel Ndembe.
Comme si en 1954, Ntoum était déjà une préfecture. 
Y a pas à redire, il s'agit d'un faux bricolé après son arrivée d'Ebebeyin.
La justice a été saisie, l'inculpation du faussaire devrait suivre. 
 L'Equato Casimir Mba dit Oyé poursuivi pour «faux et usage de faux», fraude à la nationalité Gabonaise

La Congolaise Paulette Missambo poursuivi pour «faux et usage de faux», fraude à la nationalité Gabonaise


Pauvre Paulette ! Elle s'est vraiment cru maligne en allant bricoler cette feuille à la Gare routière.
Sauf qu'elle avait oublié qu'en 1959, il n'y avait pas encore une province qui s'appelait l'Ogooué-Lolo. On ne parlait pas à l'époque de province mais plutôt de région et de district.
Il s'agit donc d'un vrai-faux acte de naissance établi en toute hâte pour camoufler sa congolité.
La justice a été saisie, l'inculpation du faussaire devrait suivre . 
 La Congolaise Paulette Missambo poursuivi pour «faux et usage de faux», fraude à la nationalité Gabonaise

lundi 15 décembre 2014

Plaidoyer pour Maixent Accrombessi




Depuis sa nomination en janvier 2011 au poste de directeur de Cabinet du Président de la République, l’homme suscite de la désaffection, de l’animosité d’une frange de la presse gabonaise acquise à une opposition difficilement visible. Tout ce qui va mal au pays est mis « sur son dos » dans le seul but de le débusquer de son poste, qui selon ses détracteurs lui donne la « haute main » sur divers dossiers tels que les renseignements, le pétrole, les finances etc.
La dernière accusation gratuite en date, est celle du fameux journaliste écrivain français, Pierre Péan qui dans son récent livre « mensonger » a fabriqué de fausses histoires contre Maixent Accrombessi. Mais en réalité, l’homme n’est qu’un réformiste « sévère » pour dé-cliquer selon la vision du président Ali Bongo l’émergence d’un Gabon victime des « grandes magouilles économiques ». Lecture !
A peine la cinquantaine entamée, il est le troisième directeur de cabinet du président de la République, après Jean-Pierre Oyiba (octobre – novembre 2009) et Patrice Otha (novembre 2009 – janvier 2011). Maixent Accrombessi, gabonais, d’origine béninoise, il est bien assis dans les grandes sphères de l’Etat gabonais depuis plusieurs années. De nombreux articles de presse, chroniques, commentaires et analyses sur lui, le considèrent comme « l’homme le plus puissant de la République».
Ce qu’il lit souvent avec un sourire « ridicule », en concluant « le président Ali Bongo est le seul et unique homme, tout puissant de la République, moi je suis à son service, mieux au service de sa vision pour le Gabon ». Même si son entourage lui reconnait une certaine rigueur professionnelle « sévère », toute la haine nourrie contre le brillant « valet » de la politique d’émergence d’Ali Bongo pour son pays, n’est qu’un « montage commandé » de la part de ses détracteurs aussi bien du pouvoir que de l’opposition.

vendredi 12 décembre 2014

Quelle Opposition pour le Gabon ?





         














En fait, il n’y a que des opposants dans Info Kinguelé apparemment... Jamais un poste favorable au parti en place toujours de casseurs moi ça m'est égale mais je pensais que c'était un groupe neutre d'où mon étonnement... Je signale juste au passage que les soit disant radicaux opposants qui sont avide de pouvoir ont servi hier et ont tous piller le village, de ce fait ils ont tous des comptes rempli de millions et milliards (Ping par exemple) ne peut il pas prendre ne serai-ce qu'un milliard dans ses comptes pour aider la population gabonaise? Si vous voulez qu'on vous croie il faut démontrer et non manipuler avec des mots puis après être élus vous ne ferez même pas mieux.          
Les gabonais ont des sérieux problèmes vous avez de l'argent et vous assistez sans participer à atténuer leur peine c'est bizarre vous paraissez tous louche en tous cas. N’oubliez pas que les œuvres d’ALI commencent à atteindre plus d’un Gabonais alors il est possible qu’il bénéficie encore des 7 ans avenir  

Mba Abessole et Asselé, toujours et encore dans la majorité

La majorité, réunie le 8 décembre dernier, dans le cadre de ses concertations périodiques a voulu mettre un terme aux rumeurs faisant état de la possible défection de certains membres de ce collectif de partis agrégés autour du président de la République.
Aux extrémités, Jean Boniface Assélé (à gauche) et Paul Mba Abessole (à droite). © armis-owono.over-blog.com

La majorité, réunie le 8 décembre dernier dans le cadre de ses concertations périodiques, a voulu mettre un terme aux rumeurs qui font état de la possible défection de certains membres de ce regroupement de partis soutenant l’action du président de la République. Au cours de cette rencontre consacrée à la revue de l’actualité nationale et internationale, la Majorité républicaine pour l’Emergence a tenu à ôter le doute dans les esprits de ses membres, militants et sympathisants quant aux présomptions de grincements de dents dans ses rangs.
Ne voulant pas laisser perdurer les rumeurs persistantes sur les supposées discordances dans la majorité, les membres de la majorité ont précisé que tout va bien entre les personnalités dont on annonce la prochaine défection et le reste du groupe. En clair, la majorité se veut soudée «n’en déplaise aux détracteurs qui propagent la rumeur selon laquelle certains d’entre eux, en l’occurrence les présidents du RPG et du CLR, respectivement Paul Mba Abessole et Jean Boniface Asselé, bouderaient, voire auraient quitté la majorité». «Ces derniers ont réaffirmé leur engagement à œuvrer en faveur de la consolidation dudit regroupement, en vue de sa contribution à la réalisation des objectifs visés par le projet de société sur la base duquel ils soutiennent le président de la République, Ali Bongo Ondimba, depuis 2009», note la majorité dans un communiqué sanctionnant la réunion.

jeudi 11 décembre 2014

QUEL EST LE VRAI VISAGE DE PIERRE PEAN


    Décidément Saint Pierre Pean est opposant ou écrivain (Journaliste d'investigation) ? Alors que fait-il au congre des opposants Gabonais? 
Ou est son intérêt en s'investissant tant dans les affaires du pouvoir au GABON?
     Nul n’est plus dans la confusion il est clairement démontré les racines du livre Pean et le lien que cela présupposait. Maintenant que les Gabonais ne se fassent plus distraire par l’inutile Ping qui n’as aucun Bilan ni dans les Ministères qu’il a occupé dans notre pays le Gabon,  ni à l’Union Africaine c’est un IDIOT il a contribué à la mort de Kadhafi.