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lundi 30 avril 2012

Communiqué Final du Conseil Présidentiel sur l'Education:Le Chef de l'Etat Remet les Pendules à l'Heure

Le Président de la République, Chef de l’Etat Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, a présidé ce jour un Conseil de Cabinet consacré au secteur de l’Education. Le Chef de l’Etat inaugure ainsi avec le premier Conseil de Cabinet, de nouveaux mécanismes de coordination interministérielle instituée à la suite de la formation du Gouvernement de missions mis en place en février dernier, pour impulser, piloter et suivre les programmes majeurs du plan stratégique « Gabon émergent ».
 



Pour cette première rencontre, l’ordre du jour a porté sur les points suivants:
 
1-Communication de Monsieur le Président de la République,Chef de l’Etat ;
 
2-Présentation par le Ministre en charge de l’Education Nationale :

·         Diagnostic et vision d’avenir du secteur de l’éducation ;

·          Etat d’avancement du plan d’urgence ;
·         Agenda de transformation du secteur éducatif.
 
3- Bilan biennal d’attribution des bourses :défis et perspectives ;
 
4- Echanges ;
 
5- Directives de Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat.
 
Fidèle à sa conviction que le capital humain est au cœur de la stratégie et de la réussite du Gabon émergent, le Président de la République, Chef de l’Etat dans son propos liminaire, a rappelé l’engagement concrétisé qu’il avait pris devant le peuple gabonais de convoquer les Etats Généraux de l’Education et de la Formation.
 
Ces assises tenues les 17 et 18 mai 2010 à Libreville, ont proposé de bâtir un système éducatif de qualité, une école de l’émergence par l’institution d’un véritable pacte de confiance entre l’élite intellectuelle gabonaise, l’élite politique et le monde de l’entreprise.
 
La loi n°021/2011 du 14 février 2012 portant orientation de l’éducation, de la formation et de la recherche est l’un des fruits des recomandations majeurs desdites assises.
 
Le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, le Secrétaire Général de la Présidence de la République, les Membres du Gouvernement, le Directeur de Cabinet du Président de la République, les Conseillers Politiques, le Chef de Cabinet du Président de la République, les Conseillers Spéciaux, les Conseillers du Président de la République, les Directeurs Généraux des Ministères et de certaines Agences ainsi que des Représentants du secteur privé ont pris part à ce premier conseil.
 
Le Ministre de l’Education Nationale, Monsieur Séraphin MOUNDOUNGA, maitre d’œuvre, a présenté une communication dans laquelle il a notamment :
 
·         Présenté le système éducatif actuel et ses nombreuses lacunes ;
 
·         Fait le bilan du plan d’urgence dans les différents volets ;

·         Présenté l’arbre architectural innovant du système éducatif du Gabon émergent, ainsi que le projet de carte nationale universitaire et de recherche ;
 
·         Esquissé les perspectives du plan stratégique du Gabon Emergent.
 
S’agissant du plan d’urgence, nous pouvons retenir les principales réalisations suivantes :
 
·         Revalorisation de 25% des bourses pour les étudiants inscrits au Gabon ;
 
·         Revalorisation de 10% des bourses pour les étudiants inscrits hors du Gabon ;
 
·         Prise en charge médicale de tous les étudiants par le biais de la CNAMGS ;
 
·         Mise en place d’un Fond Spécial de soutien de plus de 2 milliards de francs CFA aux étudiants atteints par la limite d’âge pour l’attribution de bourses ;
 
·         Augmentation des capacité d’acceuil dans les universités et grandes écoles, soit un total de 7582 places entre septembre 2011 et mai 2012 ;
 
·         Régularisation des situations administratives des agents, à savoir :
 
- Intégration dans la Fonction Publique : 3280 agents sur un total de 5024 ;
 
- Avancement automatique, titularisation , reclassement après stages et CAMES : 11246 agents régularisés ;
 
- Enseignement Technique et Formation Professionnelle : 402 agents régularisés sur un total de 465.
 
La communication du Ministre a été suivie par celle du Professeur MOUGUIAMA, Conseiller Spécial du Président de la République, sur la délocalisation des grandes écoles.
 
Des échanges riches et constructifs ont suivi les propos liminaires du Chef de l’Etat ainsi que les communications du Ministre et du Conseiller Spécial, ce qui a permis de régler les difficultés conjoncturelles et d’obtenir un consensus sur la vision du secteur.
 
Le Conseil , sous l’impulsion du Président de la République, a procédé à une analyse froide des problèmes.
 
Le Président de la République, du reste, n’a pas manqué de souligné qu’une fois ce stade d’analyse dépassé et que les décisions sont prises, l’implémentation doit se faire avec passion pour relever les défis.
 
Le Chef de l’Etat marque un refus catégorique à la prise en otage de nos enfants et l’hypothèque de leur avenir. Sa ferme volonté est de conduire les vers leur plein épanouissement grâce grâce à une formation de qualité qui leur ouvre les portes de l’emploi et non du chômage ou du désoeuvrement .
 
Le Président de la République dénonce une certaine attitude pessimiste qui gagne du terrain et qui consiste à ne rien faire, à verser dans une forme d’immobilisme incompréhensible pour un pays qui pourtant recèle de toutes les potentialités naturelles et humaines pour se développer.
 
Le Président de la République en appelle  à un sursaut national pour redoubler d’ardeur au travail si nous voulons atteindre notre objectif de faire du Gabon un pays émergent à l’horizon 2025.
 
Au terme du Conseil Présidentiel, le Président de la République, Chef de l’Etat a instruit le Premier Ministre  de lui présenter des directives finales sur la base de ces orientations couvrant tous les niveaux d’enseignement, du pré-primaire au supérieur, en passant par le primaire, les secondaires, l’enseignement technique et la formation professionnelle, la recherche ainsi que les questions transversales.
 
Enfin , le Président de la République a donné des instructions ferme au Gouvernement pour que soit élaboré, dans les meilleurs délais, un système de rémunération des enseignants-chercheurs et des chercheurs, qui permette de valoriser et de mieux récompenser leurs performances académiques et scientifiques.
 
Source: Présidence de la République

mercredi 25 avril 2012

Les Agences Nationales Gabonaises:Outils de Bonne Gouvernance et d'Exécution "Transparente"des Chantiers Prioritaires de la Nation

Dès son accession à la magistrature suprême le 16 octobre 2009, le Président de la République s’est résolument engagé dans la mise en œuvre de son projet de société basée entre autres, sur la bonne gouvernance. Il a, de ce fait, initié la création des différentes agences qui doivent mettre en exécution la politique conçue au niveau des différents départements ministériels.
        Ici, une vidéo exclusive sur le rôle et les attributions  de l'Agence Nationale des Grands Travaux
Cliquez sur la Flèche blanche pour Visionner

 Mais la mise sur pieds de ces agences fait l’objet aujourd’hui des diverses interventions comme à l’accoutumée, visant tout simplement à ébranler la volonté du Président de la République, dans sa détermination de faire du Gabon un réel pays émergent. Car nombreuses sont des interprétations qui font d’ores et déjà de mauvais procès auxdites agences soit pour détournement de fonds soit pour incapacité.
 
Ces interprétations ne devraient pas être les bienvenues surtout lorsqu’on sait tout le gâchis qui a longtemps gangréné la gestion des finances publiques au Gabon avec pour effet corollaire de mauvaises notations auprès des partenaires au développement. En effet, condamner la création des agences nationales aujourd’hui serait faire preuve de mauvaise foi et singulièrement lorsqu’on sait que celles-ci ont pour objectif, d’exécuter correctement et efficacement sur le terrain les projets de l’Etat.

Et cette volonté exprimée au plus haut niveau par le Président de la République participe de sa volonté de faire en sorte que les projets de développement retenus soient exécutés jusqu’à leurs termes. C’est dire que contrairement à ce que pense bon nombre de Gabonais aujourd’hui, les agence nationales créées par l’Etat visent à mettre fin aux détournements des deniers publics affectés jadis orchestrés dans la réalisation de plusieurs chantiers dans le pays. Des détournements étaient récurrents au niveau de plusieurs départements ministériels qui constituaient autrefois des véritables réservoirs d’enrichissement illicite.


Cette dynamique a contribué fortement au retard accusé par le pays en matière d’ infrastructures de développement. Nous pouvons citer par exemple, les fêtes tournantes, initiées par le feu président Omar BONGO ONDIMBA qui ont été une occasion propice pour certains départements ministériels et personnalités politiques d’hypothéquer la réalisation des projets retenus dans plusieurs localités. Ce qui justifie d’ailleurs la présence de plusieurs éléphants blancs dont les députés viennent de nouveau attirer l’attention du Premier Ministre lors de sa déclaration de politique général le 12 Avril dernier.

Tous ces dérapages qui ont dégradé l’image du Gabon dans le domaine de la gestion des finances publiques, a conduit le Président de la République de mettre en place des agences qui pourront mieux gérer, de manière transparente des fonds destinés à la réalisation des marchés. Dans le même ordre d’idées, le fait que ces agences soient directement rattachées à la présidence de la République ne pose aucun problème.
Cela devrait au contraire rassurer l’opinion dans la mesure où cela permet davantage au Président de la République qui est soucieux de répondre aux préoccupations des gabonais, d’avoir un œil regardant sur le niveau exact d’exécution des chantiers.

Par conséquent, plutôt que d’incriminer la création des agences, les spécialistes de mauvaises interprétations devraient savoir que cette dynamique participe tout simplement de la politique de bonne gouvernance contenue dans le projet de société du président de la République. Elle permet de ce fait, au chef de l’Etat, de bien suivre l’évolution des travaux  et des dépenses comme ce fût le cas avec l’agence nationale des grands travaux (ANGT) lors des préparatifs de la CAN Orange 2012.

En définitive, le rattachement des agences à la présidence de la République n’est rien d’autres qu’un mécanisme de lisibilité dans la gestion des finances publiques, contrairement aux années précédentes. Cette situation serait entre autres, la résultante des bonnes notations enregistrées par le Gabon auprès des institutions internationales. De ce fait, il revient aux autorités compétentes d’accentuer les actions de communication dans ce sens afin d’éclairer l’opinion sur la question relative à la création des agences ainsi que leurs effets escomptés.

samedi 14 avril 2012

MEDOUNEU N'A RIEN GAGNÉ DE MBA OBAME

                                                        l'Hopital générale de Medouneu
                                                             les pains de Medouneu
                                                    La villa de Mba Obame à Medouneu
                                             la route à quelques mètres de la villa d'AMO

Si l'on peut parler des difficultés que traversent les Gabonais par faute des pouvoirs publics, on n’ignore pas non plus qu’il y a des membres du gouvernement anciens ou nouveaux qui ont posés des actes dans leur contré afin de permettre à leurs votants de bénéficier du minimum vitale.
Si mon analyse est parfaite que peut on dire d’AMO lequel plusieurs fois Ministre dans plusieurs Gouvernements voici tout ce qu’il laisse à Medouneu chez lui, l’hôpital Général de Medouneu en photo bâtiment colonial, on peut également apprécier  les pains que mangent les fonctionnaires affectés à Medouneu artisanalement fabriquer et source de maladies, en suite plus bas son palais et en fin la route à quelques mètres de chez lui. NB. cet hôpital n'a ni le sparadrap, ni Bétadine, pas de compresse, pas de glucosé, en effet tout manque. Alors le leader de Medouneu est il vraiment sérieux. ? Vous aviez la réponse  afin que les Gabonais ouvrent les yeux.

Auteurs : les vrais enfants de Medouneu