Mais qui fait réellement
peur???
Celui qui gère
dans le calme et le respect le Gabon depuis 7 ans, sans crise sociale ou
politique, ou celui qui appelle à la guerre civile à chacune de ses
interventions???
Le rapport
2015/2016 d'Amnesty International ne cite même pas le Gabon dans la liste
des 160 pays faisant l'objet de recommandations alors que la France et nos
trois voisins, Cameroun , Congo et Guinée Equatoriale sont épinglés :
FRANCE
République française Chef de l'État : François Hollande
Chef du gouvernement : Manuel Valls
En janvier et en novembre, la capitale, Paris, et ses
environs ont été la cible de plusieurs attentats visant la population, qui ont
fait plus de 140 morts et des centaines de blessés. En janvier, le gouvernement
a adopté de nouvelles mesures antiterroristes. Le 14 novembre, il a officiellement
déclaré l'état d'urgence, qui a ensuite été prolongé par le Parlement jusqu'en
février 2016
CAMEROUN
République du Cameroun Chef de l’État : Paul Biya Chef du
gouvernement : Philémon Yang
Le groupe armé Boko Haram a bouleversé la vie de milliers
de personnes dans le nord du Cameroun en se rendant coupable de crimes au
regard du droit international, notamment d’homicides illégaux, d’attaques
contre des biens à caractère civil, de détournements de biens et d’actifs, de
pillages et d’enlèvements. Dans leur volonté d’empêcher Boko Haram de gagner du
terrain, les forces de sécurité se sont livrées à des arrestations arbitraires,
des placements en détention, des disparitions forcées et des exécutions
extrajudiciaires visant des membres présumés de ce groupe. Des centaines de
milliers de réfugiés venus du Nigeria et de la République centrafricaine
vivaient toujours dans des conditions précaires. Les libertés d’expression,
d’association et de réunion restaient soumises à des restrictions. Des
défenseurs des droits humains ont fait l’objet de manœuvres d’intimidation et
de harcèlement, y compris de la part d’agents gouvernementaux. Les lesbiennes,
les gays et les personnes bisexuelles, transgenres ou intersexuées étaient
toujours en butte à la discrimination, à des manœuvres d’intimidation et au
harcèlement, bien que les arrestations et les poursuites aient été moins
nombreuses que les années précédentes. Une loi antiterroriste promulguée le 23
décembre 2014 bafouait les droits et libertés fondamentaux et élargissait le
champ d’application de la peine de mort.
CONGO
République du Congo Chef de l'État et du gouvernement :
Dennis Sassou Nguesso
Les forces de sécurité ont eu recours à une force
excessive ou injustifiée, y compris meurtrière, contre des manifestants qui
s’opposaient au projet de réforme constitutionnelle. Certains ont été
arbitrairement arrêtés et placés en détention, et la liberté d’expression a
fait l’objet de restrictions. Les expulsions d’étrangers ont repris, visant les
ressortissants de pays d’Afrique de l’Ouest. Aucune enquête n’a été ouverte sur
l’opération d’expulsions collectives Mbata ya Bakolo, menée en 2014, dans le
cadre de laquelle plus de 179 000 personnes originaires de République
démocratique du Congo (RDC) avaient été renvoyées de force dans leur pays. Le
Comité contre la torture [ONU] a exprimé sa vive inquiétude face aux actes de
torture et autres mauvais traitements subis par les détenus dans la plupart des
établissements pénitentiaires. Les conditions de détention demeuraient particulièrement
éprouvantes.
GUINÉE ÉQUATORIALE
République de Guinée équatoriale Chef de l’État et du
gouvernement : Teodoro Obiang Nguema Mbasogo
Des centaines de personnes, dont des enfants, ont été
arrêtées arbitrairement, détenues et battues à la suite de troubles survenus
lors de la Coupe d’Afrique des Nations, compétition internationale de football
organisée sur le continent africain. Le droit à la liberté d’expression et de
réunion a été réprimé, et la police a eu recours à une force excessive pour
disperser des manifestations pacifiques. Des opposants politiques ont été
contraints de retourner dans leur village, avec interdiction de le quitter.
Qui est à l'abri
du besoin???
Dans son édition du 18 février 2015 Times Gabon rapporte : Jean Ping, L’éternel
ministre des affaires étrangères et hommes d’affaires, dispose d’une fortune
colossale qu’il gère avec ses fils. Il a longtemps utilisé sa position de
Président de la commission de l’Union Africaine pour que ses enfants
bénéficient de marché en Afrique.
Tout le monde sait au Gabon M. PING que vous
êtes multimillionnaire et que vous comptez sur votre fortune pour acheter le
vote des Gabonais
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