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lundi 7 mars 2016

Jean Ping : « Le Gabon est une dictature pure et simple entre les mains d’une famille, d’un clan »

Sur son site de propagande "Le Gabon à l'abri de la peur, le Gabon à l'abri du besoin" Jean PING
 









                                                 Mais qui fait réellement peur???

Celui qui gère dans le calme et le respect le Gabon depuis 7 ans, sans crise sociale ou politique, ou celui qui appelle à la guerre civile à chacune de ses interventions???
Le rapport 2015/2016 d'Amnesty International ne cite même pas le Gabon dans la liste des 160 pays faisant l'objet de recommandations alors que la France et nos trois voisins, Cameroun , Congo et Guinée Equatoriale sont épinglés  :
FRANCE
République française Chef de l'État : François Hollande Chef du gouvernement : Manuel Valls
En janvier et en novembre, la capitale, Paris, et ses environs ont été la cible de plusieurs attentats visant la population, qui ont fait plus de 140 morts et des centaines de blessés. En janvier, le gouvernement a adopté de nouvelles mesures antiterroristes. Le 14 novembre, il a officiellement déclaré l'état d'urgence, qui a ensuite été prolongé par le Parlement jusqu'en février 2016

CAMEROUN
République du Cameroun Chef de l’État : Paul Biya Chef du gouvernement : Philémon Yang
Le groupe armé Boko Haram a bouleversé la vie de milliers de personnes dans le nord du Cameroun en se rendant coupable de crimes au regard du droit international, notamment d’homicides illégaux, d’attaques contre des biens à caractère civil, de détournements de biens et d’actifs, de pillages et d’enlèvements. Dans leur volonté d’empêcher Boko Haram de gagner du terrain, les forces de sécurité se sont livrées à des arrestations arbitraires, des placements en détention, des disparitions forcées et des exécutions extrajudiciaires visant des membres présumés de ce groupe. Des centaines de milliers de réfugiés venus du Nigeria et de la République centrafricaine vivaient toujours dans des conditions précaires. Les libertés d’expression, d’association et de réunion restaient soumises à des restrictions. Des défenseurs des droits humains ont fait l’objet de manœuvres d’intimidation et de harcèlement, y compris de la part d’agents gouvernementaux. Les lesbiennes, les gays et les personnes bisexuelles, transgenres ou intersexuées étaient toujours en butte à la discrimination, à des manœuvres d’intimidation et au harcèlement, bien que les arrestations et les poursuites aient été moins nombreuses que les années précédentes. Une loi antiterroriste promulguée le 23 décembre 2014 bafouait les droits et libertés fondamentaux et élargissait le champ d’application de la peine de mort.

CONGO
République du Congo Chef de l'État et du gouvernement : Dennis Sassou Nguesso
Les forces de sécurité ont eu recours à une force excessive ou injustifiée, y compris meurtrière, contre des manifestants qui s’opposaient au projet de réforme constitutionnelle. Certains ont été arbitrairement arrêtés et placés en détention, et la liberté d’expression a fait l’objet de restrictions. Les expulsions d’étrangers ont repris, visant les ressortissants de pays d’Afrique de l’Ouest. Aucune enquête n’a été ouverte sur l’opération d’expulsions collectives Mbata ya Bakolo, menée en 2014, dans le cadre de laquelle plus de 179 000 personnes originaires de République démocratique du Congo (RDC) avaient été renvoyées de force dans leur pays. Le Comité contre la torture [ONU] a exprimé sa vive inquiétude face aux actes de torture et autres mauvais traitements subis par les détenus dans la plupart des établissements pénitentiaires. Les conditions de détention demeuraient particulièrement éprouvantes.


GUINÉE ÉQUATORIALE
République de Guinée équatoriale Chef de l’État et du gouvernement : Teodoro Obiang Nguema Mbasogo
Des centaines de personnes, dont des enfants, ont été arrêtées arbitrairement, détenues et battues à la suite de troubles survenus lors de la Coupe d’Afrique des Nations, compétition internationale de football organisée sur le continent africain. Le droit à la liberté d’expression et de réunion a été réprimé, et la police a eu recours à une force excessive pour disperser des manifestations pacifiques. Des opposants politiques ont été contraints de retourner dans leur village, avec interdiction de le quitter.
                                                         Qui est à l'abri du besoin???
Dans son édition du 18 février 2015 Times Gabon rapporte : Jean Ping, L’éternel ministre des affaires étrangères et hommes d’affaires, dispose d’une fortune colossale qu’il gère avec ses fils. Il a longtemps utilisé sa position de Président de la commission de l’Union Africaine pour que ses enfants bénéficient de marché en Afrique.

Tout le monde sait au Gabon M. PING que vous êtes multimillionnaire et que vous comptez sur votre fortune pour acheter le vote des Gabonais

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