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mardi 29 mars 2016

Quelles sont les potentielles victimes de la « Guerre Civile » prônée par Jean Ping ? à suivre sur cette video

Depuis son retour en politique, Jean Ping cultive le spectre de la « Guerre Civile » et de la peur dans les consciences sans pour autant désigner les communautés ethniques, religieuses ou territoriales (provinces) potentiellement victimes de ce chao dans lequel il veut plonger notre pays. Pour lui, sa simple candidature à l’élection présidentielle est l’équivalent de la vie des milliers de Gabonais probablement souffre-douleurs de son obscur projet pour notre pays : la « Guerre Civile ».
A chacune de leurs époques, les plus grands dictateurs de l’histoire de l’humanité se sont presque servis du même discours pour manipuler et fanatiser au nom de la raison ethnique ou communautaire et assujettir des peuples entiers. Ce fut notamment le cas pour Hitler, Kadhafi ou Staline. Ayant les mêmes pratiques, Jean Ping est l’un des Africains les plus antidémocratiques, dictateurs pour qui la politique de la « terre brulée » est une passion. Déjà en très peu de temps, il a réussi à détruire plusieurs partis et groupes politiques de l’opposition.
Dans tous ses discours et sorties, Jean Ping ne manque pas une seule occasion pour prêcher : la « Guerre Civile ». Les Gabonais l’ont déjà eux-mêmes constaté à travers plusieurs discours tenus à des endroits différents : « amener le pays vers le drame, vers la guerre civile » ; « le sang fini par sortir » ; « il s’agit d’une véritable expédition pour nous débarrasser des cafards ». Face à ce discours étranger à nos valeurs ancestrales, les Gabonais restent perplexes et se posent plusieurs questions légitimes sur les intentions de cet enfant d’origine chinoise, parvenu, qui n’a sans doute aucun amour pour le Gabon et les Gabonais qui lui ont pourtant tout donné.
Ainsi, d’autant que la « Guerre Civile » se définit comme un ensemble d’actes de violence, de répression, de viols, de tueries entre groupes identifiables et dont les causes peuvent être ethniques, religieuses et territoriales. Quelles sont donc les ethnies, les religions et les provinces de notre pays qui sont visées par ce projet obscur de Jean Ping ?
Concrètement, veut-il fanatiser les Akélé contre les Punu ? Veut-il monter les Fang contre les Nzebi ? Les Myéné contre Obamba ou les Kota ? Les musulmans contre les chrétiens ? Une province contre une autre? Les étrangers contre les Gabonais d’origine ? Mais le Gabon est un pays où foisonnent une cinquantaine de groupes ethniques dont les alliances ne sont plus à dénombrer et où cohabitent dans la courtoisie chrétiens, musulmans et animistes. De plus, en dehors des Gabonais eux-mêmes qui protégeront leur pays à tous prix, Jean Ping aura face à lui, les pouvoirs publics qui ont la charge de maintenir l’ordre et d’assurer la sécurité des Gabonais.
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