Personne n'y a cru et jusqu'à ce jour personne n'y croit toujours, et
pourtant les faits qui vous sont révélés dans cette publications sont
réels. Ils mettent en effet en cause, l'ancien Député PDG, désormais
passé dans les rangs de l'ex Union Nationale, Jean Christophe OWONO NGUEMA
qui, dans la conversation que vous allez écouter, se fait piéger comme
un gamin par un Pyromane qu'il a lui même contacté aux fins, tenez vous
bien, de planifier la Mise à Feu de la Capitale Gabonaise Libreville, le Samedi 11 Août 2012, date correspondant au retour de l'AMOral (André Mba Obame).
VOICI LA VIDEO QUI REVELE LE COUP
PRÉPARER DE MBA OBAME
A
la suite de la mise en ligne de cette vidéo, plusieurs partisans de Mba
Obame notamment, ont laissé entendre qu'il s'agissait d'un "coup monté" (il fallait s'y attendre d'ailleurs) par un "parfait immitateur" (LOL, TROP FACILE COMME SUBTERFUGE!).
Or l'un des propres frères de l'intéressé que nous appelerons Monsieur X, a confirmé qu'il s'agissait bel et bien de la voix de son grand frère Jean Christophe, qui n'a d'ailleurs jusqu'à ce jour, JAMAIS Démenti les Faits qui lui sont attribués et qui lui seront bientôt reprochés devant les Juridictions Compétentes désormais saisies de l'affaire.
La scène se passe dans le véhicule de Jean Christophe OWONO NGUEMA qui a à son bord, le chef d'un gang librevillois spécialisé dans les basses besognes dont des braquages, vols à mains armées et incendies préméditées.
L'individu
dont on ne livrera pas l'identité était accompagné d'une autre personne
qui a délibérément et à l'insu de tous, choisi d'enregistrer la
conversation. Motif: Avoir un moyen de pression sur leur
commanditaire et commettant au cas où ce dernier ne versait pas
l'intégralité de la somme exigée pour accomplir la "lourde tâche".
Le reste, vous l'entendrez de vos propres oreilles et que ceux qui ne
comprennent pas Fang s'appuient sur la traduction intégrale de la
conversation en Français et que vous trouverez ci-dessous:
VOICI LA CONVERSATION AUDIO QUE VOUS TROUVEREZ RETRANSCRITE EN FRANCAIS CI-DESSOUS
Version traduite en français
Owono Nguema : Y’a des étrangers qui seront-là, il y aura beaucoup, la presse étrangère et tout, comme tu sais que la chaine Une elle ne montre que les choses des émergents, c’est pour cela que je voudrais que tu me trouves des gars qui peuvent le faire ; comme cela je te donnerai
un peu d’argent pour acheter de l’essence. Puis ils prendront les
vieilles roues et viendront les brûler au carrefour, au marché, ils
brûlent un peu, juste pour hein !!! Dès qu’ils finiront de brûler !!!
Voilà un peu hein.
Interlocuteur : Lorsque vous aviez entendu que ce marché avait brûlé ; tu n’avais pas entendu que ce marché là avait brûlé ?
Owono Nguema : Le marché ? Ah bon, il avait brûlé ?
Interlocuteur : C’est nous qui l’avions brûlé.
Owono Nguema : Ah bon !
Interlocuteur : Oui, on vient de le reconstruire. J’ai mon équipe dehors. Tu ne les verras jamais, tu ne les verras pas. Moi-même je suis un ancien briguant.
Owono Nguema : C’est pour cela que je veux que !!!!!!!
Interlocuteur : Non c’est prêt.
Owono Nguema : Tu me prends cette équipe hein, je te donne un peu de sous hein, je donne un petit quelque chose.
Interlocuteur : Heu, heu !
Owono Nguema : Je vais d’abord voir comment ils vont d’abord travailler ;
Interlocuteur : Oui.
Owono Nguema : Si cela se passe bien, je rajoute.
S’ils voient les vieilles voitures, qu’ils les incendient, il faut
qu’on sente que ça chauffe, et les autres feront la même chose dans les
quartiers.
Interlocuteur: Oui, oui.
Owono Nguema : Donc je te donne un peu de sous pour leur acheter de l’essence et des allumettes, des trucs comme ça.
Interlocuteur : Hum, les gars sont prêts.
Owono Nguema : Je veux que tu prennes ça, vraiment que ce soit à partir de demain soir.
Interlocuteur : Hum.
Owono Nguema : Demain soir samedi.
Interlocuteur : ça permet qu’aujourd’hui je puisse faire les courses qu’il faut.
Owono Nguema : Termine de faire ces courses-là.
Interlocuteur : J’ai pris la zone qui part de, tu vois le tour que nous faisons-là, en partant de Rio, on prend la route qui va à Venez-voir, au feu rouge de la Peyrie, Akébé-Ville, jusqu’au carrefour, puis au Sporting, on fera un contour jusque chez moi-là.
Owono Nguema : Voilà !!!
Interlocuteur : Donc c’est dans cette zone que mes hommes vont travailler.
Owono Nguema : C’est-là où ils vont travailler et on a notre zone bouclée.
Interlocuteur : Voilà !!!
Owono Nguema : Donc Rio.
Interlocuteur :
Non, il faut poser des actes qui vont pousser les gens à la révolte,
s’ils trouvent même un parking de vente de véhicule ils mettent le
feu.
Owono Nguema (il reçoit un coup de fil) : Oui allô, allô bonjour, oui, oui monsieur Owono Nguema, oui tout à fait, vous avez raison, j’étais-là oui ; mais depuis-là je ne suis plus jamais repassé à Oyem là-bas. Et on verra ça quand je serai là-bas, et puis on va traiter ça. Je compte être là, à la fin du mois. Oui, oui je serai à Oyem là-bas. Je vous verrai.
Owono Nguema (après la conversation téléphonique) : Donc tu vois, lorsque tu l’auras fais, je voudrai
que tu commence ici, là où les Libanais vendent les voitures, il faut
mettre le feu, brûler comme cela les gens sortiront.
Interlocuteur : Voilà !!!
Owono Nguema : Tu me prends ça, donc à partir d’aujourd’hui tu prends tes dispositions, je sais que tu as beaucoup de choses à faire.
Interlocuteur : Je t’assure que j’ai des gars qui ne demandent qu’à être bien entretenus pour faire le boulot qu’il faut et comme il faut.
Owono Nguema : Comme je n’ai pas beaucoup d’argent, tiens je te donne 80.000 francs, hein ! Quand tu finiras le premier coup, appelle-moi ; mais on ne fait pas le point au téléphone, on se rencontrera-là où on se voit souvent.
Interlocuteur : Le téléphone est mauvais.
Owono Nguema : Tu fais le premier point.
Interlocuteur : D’accord, ok.
Owono Nguema : Maintenant tu as les armes, je veux voir comment tu travailles, ça doit chauffer d’ici demain samedi, après je !!! S’il faut que je rajoute, je rajouterai.
Interlocuteur : D’accord, pas de problème.
Owono Nguema : Allez, bon, j’attends de tes nouvelles.
Interlocuteur : Sans problème.
Fin de Citation. Gabonaises et Gabonais, à vous d'en Juger... Nous attendons toujours le démenti devant caméra, de Monsieur Jean Christophe OWONO NGUEMA, auquel cas, l'action publique doit être immédiatement déclenchée...
Auteur: Jean Christophe OWONO NGUEMA
Sources: Vérités du Grand Nord
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