Il n’a pas démérité.
Traduction de la page
mercredi 29 février 2012
Un mathématicien gabonais remporte le Prix Ramanujan 2011
Philibert Nang, professeur à l’École normale supérieure de Libreville et chercheur au Laboratoire de recherche en mathématiques de Libreville, a reçu à l’Institut Tata de Mumbai en Inde, le Prix Ramanujan 2011 qui récompense des jeunes mathématiciens des pays en développement. Il en est le premier récipiendaire africain.
Le Gabonais Philibert Nang, 44 ans, enseignant à l’Ecole normale supérieure, s’est vu décerner, le jeudi 23 février lors d’une cérémonie à l’Institut Tata de Mumbai (Inde), le Prix Ramanujan pour les jeunes mathématiciens de pays émergents.
Décerné conjointement par le Centre international Abdus Salam de Physique théorique, le Mémorial Niels Henrik Abel, et le Fonds de l’Union mathématique internationale, cette distinction est une reconnaissance du travail de l’enseignant gabonais pour sa contribution «exceptionnelle» à la «théorie des D-modules algébriques».
Il s’agit également de récompenser la détermination du Dr Philibert Nang à poursuivre des recherches de haut niveau dans un domaine des plus difficiles, en même temps qu’il gère une carrière très prenante dans l’enseignement supérieur de son pays. Les institutions internationales qui décernent ce prix espèrent que l’exemple du Dr Nang inspirera d’autres jeunes mathématiciens africains à travailler au plus haut niveau de la recherche, même en étant basés en Afrique.
Premier récipiendaire africain de ce prix créé depuis sept ans, Philibert Nang empoche ainsi 15 000 dollars (plus de 7 millions de francs CFA) d’un Prix financièrement soutenu par un Fonds du gouvernement norvégien dénommé Norwegian Niels Henrik Abel Memorial Fund. La distinction est décernée chaque année à un chercheur d’un pays en développement de moins de 45 ans ayant mené des recherches exceptionnelles dans un pays en développement.
Les tablettes de la recherche internationale en Mathématiques indiquent que d’autres mathématiciens gabonais travaillent dans la même veine et ils pourraient un jour remporter eux aussi des prix internationaux. Notamment, Mad Guy Martial Nkiet pour «Les mesures d’association et l’analyse canonique» et Jocelyn Nembe pour «L’estimation de la complexité minimum pour la fonction de l’intensité d’un processus ponctuel». Qui a dit qu’il n’y a pas de chercheurs gabonais ?
Le Gabonais Philibert Nang, 44 ans, enseignant à l’Ecole normale supérieure, s’est vu décerner, le jeudi 23 février lors d’une cérémonie à l’Institut Tata de Mumbai (Inde), le Prix Ramanujan pour les jeunes mathématiciens de pays émergents.
Décerné conjointement par le Centre international Abdus Salam de Physique théorique, le Mémorial Niels Henrik Abel, et le Fonds de l’Union mathématique internationale, cette distinction est une reconnaissance du travail de l’enseignant gabonais pour sa contribution «exceptionnelle» à la «théorie des D-modules algébriques».
Il s’agit également de récompenser la détermination du Dr Philibert Nang à poursuivre des recherches de haut niveau dans un domaine des plus difficiles, en même temps qu’il gère une carrière très prenante dans l’enseignement supérieur de son pays. Les institutions internationales qui décernent ce prix espèrent que l’exemple du Dr Nang inspirera d’autres jeunes mathématiciens africains à travailler au plus haut niveau de la recherche, même en étant basés en Afrique.
Premier récipiendaire africain de ce prix créé depuis sept ans, Philibert Nang empoche ainsi 15 000 dollars (plus de 7 millions de francs CFA) d’un Prix financièrement soutenu par un Fonds du gouvernement norvégien dénommé Norwegian Niels Henrik Abel Memorial Fund. La distinction est décernée chaque année à un chercheur d’un pays en développement de moins de 45 ans ayant mené des recherches exceptionnelles dans un pays en développement.
Les tablettes de la recherche internationale en Mathématiques indiquent que d’autres mathématiciens gabonais travaillent dans la même veine et ils pourraient un jour remporter eux aussi des prix internationaux. Notamment, Mad Guy Martial Nkiet pour «Les mesures d’association et l’analyse canonique» et Jocelyn Nembe pour «L’estimation de la complexité minimum pour la fonction de l’intensité d’un processus ponctuel». Qui a dit qu’il n’y a pas de chercheurs gabonais ?
la Liste Intégrale du Nouveau Gouvernement de la République Gabonaise
En date de ce jour, sur proposition du Premier Ministre, Chef du Gouvernement le Présidentde la République Chef de l'Etat, a procédé à la nomination du Gouvernement de la République gabonaise , lequel est constitué ainsi qu'il suit:
Nouveau Gouvernement de la République
Premier Ministre, Chef du Gouvernement : Monsieur Raymond NDONG SIMA
Ministre de la Justice, Garde des Sceaux, des Droits Humains et des Relations avec les Institutions Constitutionnelles, Porte Parole du Gouvernement : Madame Ida RETENO ASSONOUET
Ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération Internationale, de la Francophonie, chargé de l’Intégration Régionale :Monsieur Emmanuel ISSOZET NGONDET
Ministre de l’Agriculture, de l’Elevage, de la Pêche et du Développement Rural : Monsieur Julien NKOGHE BEKALE
Ministre de la Promotion des Investissements, des Travaux Publics, des Transports, de l’Habitat et du Tourisme, chargé de l’aménagement du territoire : Monsieur Magloire NGAMBIA
Ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur et Techniqe et de la Formation Professionnelle, Chargé de la Culture, de la Jeunesse et des Sports :Séraphin MOUNDOUNGA
Ministre des Eaux et Forêts :Monsieur Gabriel TCHANGO
Ministre de l’Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises et du Commerce : Monsieur Fidèle MENGUE M’ENGOUANG
Ministre de l’Intérieur, de la Sécurité Publique, de l’Immigration et de la Décentralisation : Monsieur Jean François NDONGOU
Ministre de la Famille et des Affaires Sociales : Madame Honorine NZET BITEGHE
Ministre de l’Industrie et des Mines : Monsieur Régis IMMONGAULT TATAGANI
Ministre du Budget, des Comptes Publics et de la Fonction Publique : Madame Christiane Rose OSSOUCAH RAPONDA
Ministre du Pétrole, de l’Energie et des Ressources Hydrauliques : Monsieur Etienne NGOUBOU
Ministres Délégués
Ministre Délégué auprès du Premier Ministre, Chargé de la Réforme de l’Etat : Monsieur Calixte Isidore NSIE EDANG
Ministre Délégué auprès du Ministre des Affaires Etrangères, chargé du NEPAD et de l’Intégration Régionale : Monsieur Dominique NGUIENO
Ministre Délégué auprès du Ministre de l’Agriculture, de l’Elevage, de la Pêche et du Développement Rural : Madame Célestine OGUEWA BA
Ministre Délégué auprès du Ministre de la Santé : Madame Alice BIKISSA NEMBE
Ministre Délégué auprès du Ministre de l’Intérieur, Chargé de la Sécurité : Monsieur Aimé-Popa NTZOUTSI MOUYAMA
Ministre Délégué auprès du Ministre de l’Economie Numérique, de la Communication et de la Poste : Madame Françoise ASSENGONE OBAME
Ministre Délégué auprès du Ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur, de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle Chargé de la Culture, de la Jeunesse et des Sports : Monsieur Ernest WALKER ONINWIN
Ministre Délégué auprès du Ministre du Budget, Chargé de la Fonction Publique : Monsieur Raphaël NGAZOUZET
Ministre Délégué auprès du Ministre de la Promotion des Investissements, Chargé des Transports : Jean Emmanuel BIE
Ministre Délégué auprès du Ministre de la Promotion des Investissements, des Infrastructures, chargé de l’Habitat : Madame Christianne LECKAT
Ministre Délégué auprès du Ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur, chargé de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle : Madame Paulette MOUNGUENGUI
mardi 28 février 2012
GUY N'ZOUBA NDAMA Réélu à l'Unanimité Président de l'Assemblée Nationale cet après midi:Biographie
Le Président sortant de l'Assemblée Nationale, Guy NZOUBA NDAMA vient d'être reconduit à l'unanimité des votes, à la tête de la Première chambre du Parlement (Assemblée Nationale).
L'intégralité du Bureau de cette institution vous sera communiquée ultérieurement. D'ores et déjà, l'Union des Jeunes du Parti Démocratique Gabonais adresse ses vives et chaleureuses félicitations au Camarade Guy NZOUBA NDAMA ainsi qu'à l'ensemble de son bureau.
Pour ceux qui ne connaissent pas le parcours de l'impétrant, l'UJPDG-France vous livre quelques éléments bibliographiques:
Biographie de Guy NZOUBA NDAMA
Pour rappel, l'honorable Guy NZOUBA NDAMA est né le 17 juillet 1946, à Koula-Moutou, dans la province de l’Ogooué-Lolo, au Gabon. Marié, il est père de huit (8) enfants.
Après ses études primaires à l’Ecole Catholique Notre Dame de la Salette, à KoulaMoutou,et ses études secondaires au Collège Bessieux de Libreville, il entreprend ses études de philosophie à l’Université Paul Valery de Montpellier.
A la fin de ses études, il est intégré dans la Fonction Publique en qualité de Professeur de Philosophie des Lycées, en septembre 1975. En novembre 1975, il est nommé Directeur de l’Orientation à la Direction générale des Bourses et Stages, tout en assurant ses enseignements.
En 1980, il est nommé Directeur général des Bourses et Stages.
En 1983, il est entré au Gouvernement où il a exercé les fonctions suivantes :
- mars 1983, Ministre délégué auprès du Ministre d’Etat, Ministre du Commerce et de l’Industrie ;
- janvier 1986, Ministre délégué auprès de 4ème Vice-Premier Ministre, Ministre du Cadastre, de l’Habitat et du Logement ;
- novembre 1987, Ministre de l’Education nationale.
Monsieur Guy NZOUBA-NDAMA a été élu en octobre 1990, député du département de la Lolo-Bouenguidi, à Koula-Moutou, puis réélu en 1996.
Il a été élu Président de l’Assemblée nationale, le 27 janvier 1997 et réélu à ce poste le 25 janvier 2002 puis en Décembre 2007.
De 1999 à 2003, il a été membre du Comité Exécutif de l’Union Interparlementaire.
Il fut par ailleurs Premier Vice-Président du Bureau de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie.
Ce Lundi 27 Février 2012 il est réélu Président de l'Assemblée Nationale.
Monsieur Guy NZOUBA-NDAMA a reçu les hautes distinctions suivantes :
- Commandeur des Palmes académiques françaises
- Commandeur de l’ordre gabonais de l’éducation nationale
- Grand Officier de la Pléiade
- Grand Cordon du Wissam Al Alaoui (Maroc)
- Grand Croix du Mérite Gabonais
- Grand Croix de l’Etoile Equatoriale (Gabon).
- Grand Cordon du Wissam Al Alaoui (Maroc)
- Grand Croix du Mérite Gabonais
- Grand Croix de l’Etoile Equatoriale (Gabon).
Encore bravo camarade NZOUBA!!!
Communiqué de Presse Faisant suite à la Nomination de Monsieur Raymond NDONG SIMA au poste de Premier Ministre Chef du Gouvernment
Communiqué de Presse faisant suite à la nomination de Monsieur Raymond NDONG SIMA aux fonctions de Premier Ministre, Chef du Gouvernement.
Communiqué de Presse
Nomination d’un nouveau Premier Ministre à la tête du gouvernement gabonais
Suite à la nomination en ce jour d’un nouveau Premier Ministre à la tête du gouvernement gabonais en la personne de Monsieur Raymond NDONG SIMA, l’Union des Jeunes du Parti Démocratique Gabonais de France tient à saluer l’arrivée d’un homme de grande qualité, connaissant la gestion de la chose publique et en phase avec le profil énoncé par le Président de la République pour diriger ce Gouvernement.
L’UJPDG-France ne peut que lui adresse ses vœux de plein succès dans ses nouvelles missions, ô combien importantes, tout en lui assurant de son soutien indéfectible.
D’autre part nous tenons à féliciter et remercier Monsieur Paul BIYOGHE MBA pour sa conduite du gouvernement gabonais depuis 2009, les différents chantiers engagés et la dynamique impulsée aux côtés du Chef de l’Etat. Un homme politique et grand commis d’état de son rang demeure, quelque soit la forme et les conditions, une source intarissable de conseils et d’orientations au service de la nation.
A Monsieur Raymond NDONG SIMA nous tenons à lui exprimer la volonté du peuple gabonais en général et des jeunes du parti démocratique gabonais de France en particulier de voir la mise en œuvre du projet « l’Avenir en Confiance » du Président de la République Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA connaitre une accélération et une effectivité dans chacun des 9 axes et des trois piliers qui fondent la vision d’un Gabon Emergent à l’horizon 2025.
Rappelons que Monsieur le Premier Ministre Raymond NDONG SIMA, âgé de 57 ans et originaire de la province du Woleu-Ntem est titulaire d’un Diplôme d’Etudes Approfondies en économie, option économie mathématique et économétrie obtenu à l’université Université Paris IX Dauphine en 1982. Il a assuré à plusieurs reprises des hautes fonctions telles que Directeur Général de l’Economie au Ministère de la Planification et de l’Economie (1992-1994), Directeur Général de la Société Nationale d’Hévéa culture- HEVEGAB (1994-1999) ou encore Président Directeur Général de la Compagnie d’Exploitation du Chemin de Fer- Transgabonais (2001).
Jusqu’à sa nomination, le nouveau Premier Ministre occupait les fonctions de Ministre de l’Agriculture, de l’Elevage, de la pêche, et du Développement Rural. Député du Parti Démocratique Gabonais du 3ème siège du département du Woleu, Monsieur Raymond NDONG SIMA est par ailleurs un acteur économique dans le domaine des transports et reconnu comme proche des préoccupations des populations.
Auteur le GABON VRAI
Source: Gabon télévision lundi 27 février 2012
GABON: POURQUOI LE NOUVEAU GOUVERNEMENT TARDE AUTANT ?
Quelques Explications sur le Retard Constaté dans la Mise en Place du Nouveau Gouvernement
Depuis la fin des élections législatives et surtout depuis que la Cour Constitutionnelle a vidé le contentieux, les rues et quartiers de Libreville et de l’arrière-pays bruissent de rumeurs et de commentaires. On entend tout et son contraire.
En effet, le retard pris dans la composition du gouvernement et sur la nomination d’un Premier ministre est devenu le sujet des gabonais dans tous les bistrots et même des principaux états-majors politiques. Et pourtant, tout ce qui se fait actuellement est couvert entièrement par la loi.
Trois raisons expliquent se qui se passe actuellement dans le pays : - La première explication est liée à la révision de la loi électorale. En effet, après l’annonce des résultats par le ministre de l’Intérieur, la Cour constitutionnelle proclamait ces résultats-là sous réserve du contentieux électoral dont elle serait saisie. Ce qui bien entendu, raccourcissait les délais quant à la nomination d’un nouveau Premier ministre. Or aujourd’hui, la loi nouvelle dispose que la Cour constitutionnelle vide d’abord le contentieux avant de proclamer les résultats. C’est donc une donnée importante qu’il faudrait désormais intégrer dans les différentes analyses politiques qui se font actuellement.
- La deuxième raison est d’ordre constitutionnel. En effet, l’article 40, aliné 1er de la Constitution de la République précise : « Chaque Chambre du Parlement se réunit de plein droit le premier jour ouvrable suivant le quinzième jour après son élection…». Autrement dit, après la proclamation des résultats par la Cour Constitutuonnelle, il faudrait attendre quinze jours pour que les membres de l’Asemblée nationale se réunissent pour élire leur président et les autres membres du Bureau. A cet égard, la loi organique de l’Assemblée nationale dispose qu’au cours de cette réunion, tous les députés titulaires doivent obligatoirement être présents dans l’hémycicle de l’Assemblée nationale. Or, si le Président de la République venait à nommer des membres du gouvernement parmi les élus, ces membres ne peuvent siéger en tant que députés. Pour qu’ils valident leur mandat de député, il faut qu’ils aient au moins siégé à l’Assemblée nationale.
-La troisième raison est politique. Nous sommes dans un Etat de droit. Et dans un Etat de droit, c’est le parti majoritaire au Parlement qui compose le gouvernement. Or, aujourd’hui, l’effectivité de cette majorité au Parlement n’est pas encore constatée. Ils doivent siéger d’abord pour qu’on sache à l’intérieur de l’hémycle, qui est le parti majoritaire.
Ce lundi 27 Février 2012 est la date qui a été choisie pour le renouvellement du bureau de la première chambre du Parlement. Tous les députés titulaires y sont attendus et probablement dans la foulée, le Premier ministre sera nommé et ce dernier rendra publique la liste de son Gouvernement . Wait and see…
Auteur:UJPDG-France
Source:L'Union
jeudi 23 février 2012
Quand le Griot Migrateur OVONO Lambert Petit Crie Famine en menaçant de mort le Président Ali BONGO ONDIMBA
Encore une loque qui n’a rien compris ou mieux toujours le même qui feint de n'avoir encore rien compris. En effet, voilà qu’un de ces grands théoriciens des complots internationaux sûrement commandités par la "NASA" remet les couverts pour nous dire qu’il y’aurait une soit disant grosse conspiration anti-fangs au Gabon.
C’est à travers les lignes d’un amphigouri chiffon de garage, aussi déplorable qu’enfantin, qu’on peut lire le cri d’alarme d’un être « Lustucru » qui n’accèdera jamais aux fonctions dont il rêve et se cache derrière une couverture ethnique à peine assumée, pour évoquer sa propre histoire qu’il veut transformer en généralité.
Ainsi, l'hurluberlu de petite nature, le bien nommé « Petit » OVONO, aussi "Petit" par son prénom, sa taille et son esprit, nous dévoile dans une sorte de litanie injurieuse, son objectif de transformer l’
Administration gabonaise en un « clergé ethnique » au service d'une communauté, afin de récupérer des postes qui font sans doute saliver son appétit vorace et abyssal du pouvoir et de l’argent.
Du Trésor à la Douane, du Budget aux Impôts, voilà qui perturbent les nuits de ce compatriote jadis éphémère conseiller du défunt Président Omar BONGO ONDIMBA, qui fut balayé de la Présidence par le Tsun'ali de 2009 pour son abandon de poste dévoilé par les très fructueuses conclusions de l'audit de la fonction publique l'année suivante , rejeté par ses "frères" d'adoption Bitamois en raison de ses origines douteuses (puisqu’il serait en réalité un équato refoulé du village d’Ebébéyine), tout comme son mentor, l’albatros de Medouneu.Bref.
Comment tordre la réalité à un tel point ? Comment avoir une telle méconnaissance de la gestion de la chose publique et des valeurs qui ont permis au Gabon de survivre à tous les cataclysmes détonants du continent africain ?
Imaginez-vous donc que ce soient ces petites gens aux intentions ignominieuses qui caressent le rêve d’assumer le pouvoir dans notre pays, mais au juste pour le guider vers quoi,si ce n’est la déchéance totale, l’ethnisation de la chose publique, la concentration du pouvoir en des mains infertiles qui ne portent que le signe de la jalousie et de la soif du matériel, tellement le désert intellectuel qui les habite n’a pour comparable que les gargouillements de leurs ventres affamés ?
Quand ce n’est pas un « génocide à la rwandaise » qu’on nous promet au lendemain de l’élection présidentielle de Septembre 2009, c’est un « coup d’état à la nigérienne » en Mars 2010, et aujourd’hui des menaces de mort contre le Premier Magistrat de la République !
Quel est donc ce gabonais qui, au moment où la Nation entière entonne les refrains de l'Unité, du bon Vivre Ensemble, de Paix, de Partage et du Sursaut Patriotique (tel qu' exprimé lors de la CAN 2012 dans notre pays), peut encore arborer publiquement la soutane du ridicule pour soutenir et défendre de telles hérésies sans aucune honte ?
Est-ce parce que son employeur est un « professionnel du ridicule », que ce « Petit » personnage met en veilleuse l'usage de ses « neurones » pour rédiger des torchons à l' image de sa pensée, ou est-ce plutôt parce que son cerveau semble désormais atteint par la ménopause? Est-ce l'explication de sa soudaine palinodie contre le PDG dans lequel il s’est pourtant servi avec gourmandise, d'abord en qualité de membre du Comité Central après avoir séjourné plusieurs années dans le RNB, avant de réussir son coup de maître en se faisant parachuter Conseiller (sans attribution) du défunt président Omar BONGO ONDIMBA?
Sachez cher Monsieur le « Petit », que le Gabon, porté aujourd’hui par son Président de la République Ali BONGO ONDIMBA que vous osez menacer de mort, est un Gabon pour Tous, sans distinction d’âge, d’ethnie ou de genre, et où seuls la compétence et le talent des méritants ont résolument pris le pas sur la République des passes-droit et des privilèges ethnocentriques!!
Sachez aussi Monsieur le "Petit", qu’au Gabon ce n’est pas sur une base arithmétique d’être soi-disant 40% de la population que l’on gagne une élection!Votre raisonnement est sibyllin, totalement abscons et même suranné !
Nous le comprenons aisément puisqu’en menant une vie de valétudinaire et de pauvre hère en France, vous avez choisis malgré vous, de jouer les panégyristes de celui que vous cataloguiez dans un passé encore récent, comme étant le Prince des Ténèbres ! Si vous avez perdu l’usage de la honte, ayez au moins pitié de vous et de vos enfants !
Les gens comme vous, monsieur le "Petit", ne servent nullement leur communauté ethnique par de tels propos aux relents tribaux. Heureusement d'ailleurs que vous êtes loin de représenter les 40% de la communauté Fang, car vous n’êtes qu’un imposteur niais, un imposteur intellectuel et un imposteur de la société civilo-politique au nom de laquelle vous croyez parlez.Au Gabon nous sommes Unis et Indivisible, qu'on soit Fang, Orungu, Téké ou toute autre, mais gabonais avant tout !
Un conseil tout de même, si vous ne souhaitez guère voir déballer sur la place publique les vraies raisons de votre auto-exil en France ainsi que les secrets de votre prostration, vous gagnerez fortement en faisant profil bas, en faisant de votre prolixité verbale, un usage moins ubuesque en là mettant au service de la République, et non au service d’un homme, ou d'une cause communautariste!
Ce n’est pas la première fois que vos interventions se distinguent par leur caractère surréaliste, mensonger, partisan et ethnique, mais dans le même temps, quelque soit le temps passé dans un marigot la branche n’en devient pas plus un caïman, dit-on !
Pour vos menaces et insultes envers le Président de la République, nous laissons le soin aux hommes de Droit et de Loi de vous préparer une réponse judiciaire! A 55 ans, vous avez encore l'âge de goûter aux saveurs d'une mise en examen! Réfléchissez-en...
Auteurs:Mvé Ebang Junior, Akagha Mba Darius, Philomène Akanda
Sources: La jeune garde/Grand Nord: http://grandnordgabonais.blogspot.com/2012/02/quand-le-griot-migrateur-ovono-lambert.html
mardi 21 février 2012
Procès en Correctionnel de Yannick JADOT VS Ali BONGO ONDIMBA:Les Détails du Verdict que JADOT a Intentionnellement Dissimulé
Le verdict de l'affaire Ali Bongo Ondimba-Jadot, c'est-à-dire celle qui oppose le député européen et ex porte-parole d'Eva Joly, candidate à l'élection présidentielle française et le Chef de l'Etat gabonais, a été rendu.
La 17 ème Chambre correctionnelle(chambre de presse) a rendu son arrêt en reconnaissant la recevabilité de la requête du plaignant qui s'est constitué partie civile, ainsi que le caractère pour le moins audacieux si ce n'est insultant des propos tenus par le sieur Jadot.
Nous prenons acte dans l'arrêt rendu par le tribunal de ce que M. Jadot s'est effectivement rétracté devant ce même tribunal dont le compte rendu de l'audience indique clairement : « il convient de considérer qu'en l'espèce, comme le soutient le prévenu dans ses conclusions et comme il l'a répété à la barre, Ali Bongo Ondimba n'est pas visé par les propos litigieux », le contexte se rapportant plutôt aux évènements du Proche et Moyen Orient.
Toutefois, il conviendrait alors, pour une parfaite honnêteté intellectuelle, que l'intéressé et une certaine presse manifestement acquise à sa cause, n'occultent pas les raisons de cette relaxe qui tiennent donc, d'une part, à la rétractation de M. Jadot sur ses hasardeuses assimilations, et d'autre part, à la qualification du point de vue alors exprimé comme un jugement de valeur.
Sur cette reconnaissance partielle d'un tribunal qui ménage ainsi les parties, il est besoin de rappeler que notre pays n'a pas besoin d'une juridiction française et encore moins d'un porte-parole qui, depuis, a d'ailleurs cessé d'être celui de sa candidate.
Notre pays, pour reprendre une expression propre utilisée par le prévenu Jadot, ne se laissera pas intimider ni par de tels propos, ni part de tels comportements de piteux soi-disant responsables politiques en mal de notoriété suscitée que la bonne conscience occidentale autorise à donner des leçons d'un autre âge.
La crise internationale et européenne en particulier devrait inspirer beaucoup plus de modestie et d'humilité à toutes celles et tous ceux qui veulent se servir des pays africains comme exutoires à leurs règlements de comptes internes.
Les opinions africaines, gabonaise singulièrement, sont lassées de ces joutes sur leur dos, alors que les répercutions des mauvaises gestions, pour ne pas utiliser d'autres termes, devraient amener les donneurs de leçons à balayer d'abord devant leurs portes, et aussi à considérer les effets négatifs voire dévastateurs de leurs propres turpitudes sur les populations africaines.
Quant au régime de la liberté de la presse, ce donneur de leçons qui croit juger l'Afrique depuis les bords de la Seine, alors qu'il est incapable de situer la Sierra-Leone sur une carte de géographie du monde, ferait mieux de faire le déplacement Libreville – où il n'est pas le bienvenu – pour constater que la démocratie se porte mieux chez nous que dans certaines régions de l'Hexagone où la pensée unique est leur pain quotidien.
Il est évident qu'il serait bien surpris de découvrir dans les kiosques chaque matin des journaux satiriques et critiques qui n'ont pas grand chose à envier au Canard enchaîné, reflet d'une réelle et évidente diversité, que d'une unicité de point de vue.
C'est sans doute là le plus grand malheur des pseudo-intellectuels - en fait, des intellectuels tarés, totalement ignorants des réalités africaines et qui pensent à tord comme Marx que « l'Afrique n'a pas d'histoire, donc pas de civilisation ».
Si on pardonne à ces penseurs du XIX è siècle leur indigence intellectuelle, on ne saurait le pardonner à ceux qui vivent aujourd'hui au 3e millénaire à l'ère de l'électronique.
Et si M. Jadot, un Vert, s'intéresse à l'écologie, il se serait vite aperçu qu'au Gabon du président Ali BONGO ONDIMBA, il aurait matière à traiter. Au lieu de s'occuper de la politique qui ne lui réussit guère.
Auteur: Lin-Joël NDEMBET
La 17 ème Chambre correctionnelle(chambre de presse) a rendu son arrêt en reconnaissant la recevabilité de la requête du plaignant qui s'est constitué partie civile, ainsi que le caractère pour le moins audacieux si ce n'est insultant des propos tenus par le sieur Jadot.
Nous prenons acte dans l'arrêt rendu par le tribunal de ce que M. Jadot s'est effectivement rétracté devant ce même tribunal dont le compte rendu de l'audience indique clairement : « il convient de considérer qu'en l'espèce, comme le soutient le prévenu dans ses conclusions et comme il l'a répété à la barre, Ali Bongo Ondimba n'est pas visé par les propos litigieux », le contexte se rapportant plutôt aux évènements du Proche et Moyen Orient.
Toutefois, il conviendrait alors, pour une parfaite honnêteté intellectuelle, que l'intéressé et une certaine presse manifestement acquise à sa cause, n'occultent pas les raisons de cette relaxe qui tiennent donc, d'une part, à la rétractation de M. Jadot sur ses hasardeuses assimilations, et d'autre part, à la qualification du point de vue alors exprimé comme un jugement de valeur.
Sur cette reconnaissance partielle d'un tribunal qui ménage ainsi les parties, il est besoin de rappeler que notre pays n'a pas besoin d'une juridiction française et encore moins d'un porte-parole qui, depuis, a d'ailleurs cessé d'être celui de sa candidate.
Notre pays, pour reprendre une expression propre utilisée par le prévenu Jadot, ne se laissera pas intimider ni par de tels propos, ni part de tels comportements de piteux soi-disant responsables politiques en mal de notoriété suscitée que la bonne conscience occidentale autorise à donner des leçons d'un autre âge.
La crise internationale et européenne en particulier devrait inspirer beaucoup plus de modestie et d'humilité à toutes celles et tous ceux qui veulent se servir des pays africains comme exutoires à leurs règlements de comptes internes.
Les opinions africaines, gabonaise singulièrement, sont lassées de ces joutes sur leur dos, alors que les répercutions des mauvaises gestions, pour ne pas utiliser d'autres termes, devraient amener les donneurs de leçons à balayer d'abord devant leurs portes, et aussi à considérer les effets négatifs voire dévastateurs de leurs propres turpitudes sur les populations africaines.
Quant au régime de la liberté de la presse, ce donneur de leçons qui croit juger l'Afrique depuis les bords de la Seine, alors qu'il est incapable de situer la Sierra-Leone sur une carte de géographie du monde, ferait mieux de faire le déplacement Libreville – où il n'est pas le bienvenu – pour constater que la démocratie se porte mieux chez nous que dans certaines régions de l'Hexagone où la pensée unique est leur pain quotidien.
Il est évident qu'il serait bien surpris de découvrir dans les kiosques chaque matin des journaux satiriques et critiques qui n'ont pas grand chose à envier au Canard enchaîné, reflet d'une réelle et évidente diversité, que d'une unicité de point de vue.
C'est sans doute là le plus grand malheur des pseudo-intellectuels - en fait, des intellectuels tarés, totalement ignorants des réalités africaines et qui pensent à tord comme Marx que « l'Afrique n'a pas d'histoire, donc pas de civilisation ».
Si on pardonne à ces penseurs du XIX è siècle leur indigence intellectuelle, on ne saurait le pardonner à ceux qui vivent aujourd'hui au 3e millénaire à l'ère de l'électronique.
Et si M. Jadot, un Vert, s'intéresse à l'écologie, il se serait vite aperçu qu'au Gabon du président Ali BONGO ONDIMBA, il aurait matière à traiter. Au lieu de s'occuper de la politique qui ne lui réussit guère.
Auteur: Lin-Joël NDEMBET
Source: L'union du lundi 20 février 2012
mardi 14 février 2012
samedi 11 février 2012
2007-2012 : Comment Sarkozy (re)part en campagne
Cible électorale, valeurs, stratégie... L'entrée en campagne de Nicolas Sarkozy, qui pose les bases de son futur programme dans un entretien au Figaro Magazine, à paraître samedi, ressemble sur certains aspects à celle de 2007. Mais beaucoup d'éléments diffèrent.
Celui qui devrait annoncer sa candidature en milieu de semaine prochaine se situe "plus en décalage que dans la continuité" car s'il "reprend le cocktail qui lui avait réussi en mettant en avant des valeurs et en adoptant une stratégie du clivage, il mise sur un démarrage plus à droite qu'il y a cinq ans. Et ne fait plus d'appel du pied à gauche", résume Frédéric Dabi, directeur du département opinion à l'IFOP.CAN 2012: La Zambie se rappelle de ses morts à Libreville avant d'affronter la Côte d'Ivoire
Près de 19 ans après le crash aérien qui a décimé leur équipe nationale, les Zambiens se sont recueillis jeudi sur les lieux du drame à Libreville. Une cérémonie émouvante qui prend un sens particulier à trois jours de la finale de la Coupe d'Afrique contre le grand favori ivoirien.
Au lendemain de la qualification en finale aux dépens du Ghana (1-0), l'heure n'était plus aux considérations sportives mais bien au recueillement et au souvenir dans le camp zambien. Car c'est dans une ville chargée d'une histoire terrible pour la sélection que la formation de Hervé Renard tentera d'inscrire pour la première fois son nom au palmarès de la Coupe d'Afrique. Libreville n'est pas une cité comme les autres pour le football zambien. Le pays y a perdu une génération dorée, le 27 avril 1993, tout près de l'aéroport de la capitale gabonaise, dans le quartier de La Sablière. Dix-huit membres de l'équipe nationale avaient alors péri dans l'accident d'avion (30 morts au total) qui devait les mener au Sénégal, la faute à un appareil en mauvais état associé à une erreur de pilotage.
Un seul homme avait réussi à éviter ce terrible dénouement, l'actuel président de la Fédération zambienne Kalusha Bwalya, considéré comme le plus grand joueur de l'histoire du pays, qui avait échappé à l'accident parce qu'il devait rejoindre ses coéquipiers à partir de l'Europe. Depuis cette date, jamais la sélection zambienne n'avait refoulé le sol gabonais. Autant dire que l'émotion était à son paroxysme à l'arrivée de la délégation à La Sablière en fin d'après-midi, quelques heures seulement après leur atterrissage à Libreville en provenance de Bata en Guinée Equatoriale.
"Pas une coïncidence"
Précédés d'une nuée de journalistes et photographes, joueurs et encadrement ont parcouru les 200 mètres séparant le début de la plage du lieu de l'accident en entonnant une chanson funéraire zambienne avant de déposer chacun une gerbe de fleurs à l'endroit précis où l'avion s'était écrasé. Comme un symbole, c'est Kalusha Bwalya, accompagné du ministre des Sports Chisimba Kambwili, qui a débuté l'hommage aux victimes avant quelques minutes de prières sous la direction du capitaine Chris Katongo, Hervé Renard se tenant légèrement en retrait.
Le dirigeant, particulièrement ému, a ensuite salué la mémoire de ses coéquipiers disparus dans un discours poignant. "Ce n'est pas une coïncidence de se retrouver ici, a affirmé l'ancienne légende. En 1993, les Chipolopolos sont venus dans cette ville pour tenir une promesse. Ils n'ont pas réussi mais ont donné leur vie pour une noble cause, le rêve d'apporter la gloire à leur pays, la Zambie. C'est la même cause qui nous a amenés ici. La seule différence, c'est que nous sommes vivants alors que mes anciens partenaires ne sont plus là. Mais leurs rêves sont désormais les nôtres."
L'entraîneur zambien a de son côté vu "comme un signe du destin" la qualification de son équipe pour cette finale disputée à Libreville. "Cela représentait un objectif et un challenge de revenir le 12 février au Gabon, a déclaré le technicien français. Quand on a commencé la préparation le 28 décembre, cela paraissait tellement loin. Mais quand une équipe de remplaçants est capable d'aller en finale en 1994, on se dit que le football est aussi une question de mental et de psychologie. A nous de nous en servir. Je sens que, quelque part, le nom de la Zambie est marqué ici."
source koacinaute: afp
ALASSANE OUATTARA A LIBREVILLE POUR LA FINALE DE LA CAN 2012!
Alassane Ouattara, se rendra à Libreville en passant par Franceville ou il s’inclinera
devant la tombe de feu EL HADJ OMAR
BONGO ONDIMBA ce samedi 11 février 2012, pour assister à la finale de la
Coupe d’Afrique des Nations, qui opposera les Eléphants de Côte d’Ivoire aux
Chipolopolos de la Zambie, le dimanche 12 février 2012. Il décollera
d'Abidjan à 11hgmt.
Par ailleurs Alassane Ouattara, a reçu en audience, ce vendredi 10 Février à 16H00 au Palais de la Présidence de la République, une délégation d’Administrateurs de la Banque Mondiale. A leur sortie d’audience, M. Jörg Frieden, Administrateur de la Suisse et porte-parole de la délégation, a révélé qu’au cours de leurs échanges, le Chef de l’État leur a fait partager sa vision de la "Nouvelle Côte d’Ivoire", tout en soulignant le rôle important que la Banque mondiale devra jouer dans sa politique de relance et de reconstruction du pays. Une relance qui, selon SEM. Alassane Ouattara, sera basée sur le développement du secteur public de même que sur le secteur privé. Pendant leur discussion, le Président de la République a également souligné l’importance qu’il attachait au processus de réconciliation nationale, qui est en cours et a rendu hommage à cette institution mondiale vue la présence dont elle a fait preuve, depuis les évènements postélectoraux jusqu’à sa prise de pouvoir. Pour M. Jörg Frieden, la délégation dont il est le porte-parole s’inscrit entièrement dans la vision du Chef de l’État. De surcroît, ils ont pu constater, effectivement, que la Côte d’Ivoire a bel et bien repris sa marche vers la normalité et la relance économique. Une reprise qui va aussi bien dans l’intérêt du peuple ivoirien que dans celui de la sous-région. Répondant aux questions des journalistes concernant la réforme de la filière café-cacao et du point d’achèvement de l’initiative PPTE, primo, la délégation dit avoir n’avoir aucune inquiétude vue que, la réforme avance bien selon la feuille de route qui a été donnée à la Côte d’Ivoire. Secundo,les deux Conseils d’Administrations, seuls organes compétents à se préciser sur ce sujet, feront le pointdans les mois à venir. Puis, ce fut au tour de M. Robert Prouty, Directeur du Secrétariat du Partenariat Mondial pour l’Éducation, d’être reçu par le Chef de l’État. Pour celui-ci, il s’agissait d’échanger avec le Président Ouattara, sur le don d’un montant de 21 milliards 400 millions de FCFA que, sa structure vient de faire à la Côte d’Ivoire et sa mise en œuvre. Après avoir insisté sur l’accélération de cette mise en œuvre, le Chef de l’État, s’est réjoui de voir que, le Ministre de l’Éducation Nationale, avait déjà inclus dans ce programme, la réhabilitation urgente des infrastructures scolaires endommagées lors de la crise postélectorale.Aussi a-t-il appelé tous les acteurs du secteur scolaire à faire en sorte que, les actions à mener se fassent dans les meilleurs délais possibles. Une fois encore, lePrésident de la République, a fait part de sa vision de la "Nouvelle Côte d’Ivoire", dans laquelle l’éducation, dans toutes ses composantes, a une place prépondérante.
(contact@koaci.com)
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vendredi 10 février 2012
BRUNO BEN MOUBAMBA RECONNAIT LA CAPACITE ORGANISATIONNELLE D’ALI BONGO ONDIMBA
jeudi 9 février 2012
LE ROI DU FOOTBALL MONDIAL EDSON ARANTES DO NASCIMENTO DIT "PELE" EST ARRIVE AU GABON A L'INVITATION DU CHEF DE L'ETAT:IMAGES
Un invité de marque, l'homme aux plus de 1000 buts, 3 fois champion du monde : le "Roi" Pelé(Edson Arantes Do Nascimento de son vrai nom), est arrivé au Gabon sur invitation spéciale du Président de la République Ali BONGO ONDIMBA qui voulait offrir ce cadeau aux gabonais amoureux du ballon rond!
Quelle formidable surprise d'accueillir ce prestigieux hôte de la République Gabonaise qui rend ainsi hommage à tous les efforts réalisés au Gabon pour accueillir dignement la CAN 2012.
Merci à ce grand joueur, mais surtout merci à Monsieur le Président de la République!
Rappelons également que la Finale de la Coupe d'Afrique des Nations se jouera à Libreville en présence de nombreuses personnalités parmi lesquelles Pelé, Michel Platini, peut-être Diégo Maradona sans oublier d'énormes surprises qui permettront au Gabon de clôturer en beauté, cette belle fête du football africain.
Actuellement se joue au stade de l'amitié de Libreville, le match Côte d'Ivoire-Mali en présence du Chef de l'Etat Ali BONGO ONDIMBA qu'accompagne le roi Pelé comme en témoigne cette image:devant un public concquis:
mercredi 8 février 2012
Le Président annonce un plan pour la programmation des infrastructures sur l’ensemble du Gabon
Le Président de la République Gabonaise, Ali BONGO ONDIMBA, a donné son accord à la poursuite de la planification des infrastructures lors du conseil d’administration de l’Agence Nationale des Grands Travaux (ANGT).
L'ANGT a présenté une série de projets ciblant les domaines de l'éducation, de la santé, du logement et des routes dans la zone de Libreville et sur l’ensemble des 9 provinces du pays. La mise en place du Plan Directeur d'Infrastructures National permettra de dévoiler la vision et le plan pour aller de l'avant et soutenir l'émergence du Gabon.
Le programme de projets pour le secteur éducation se concentrera sur les besoins immédiats des universités avec la construction et l’équipement de structures temporaires puis la rénovation des centres d'éducation à travers le pays. L'amélioration des établissements de santé restera une priorité avec le développement de bâtiments neufs et rénovés et des installations de soutien à Lambaréné. L'année 2013 marque le 100ème anniversaire de l'hôpital Albert Schweitzer où la célébration de son engagement pour la santé et le Gabon sera marquée par la construction de nouvelles infrastructures.
Le transport demeure une priorité du gouvernement avec la planification à Libreville d’un système de transports publics pour répondre aux flux de trafic, l'amélioration du réseau routier afin de développer les déplacements et l’augmentation des travaux routiers pour relier les villes du Gabon. Les nouvelles installations et rénovation des aéroports dans les grandes villes permettront d’accueillir un nombre plus importants de passagers.
Le projet d’Angondjé et le développement des quartiers se poursuivra avec la construction de logements durables pour les différents niveaux de revenu dans les quartiers nouveaux grâce à la mise en application du SmartCode. Des approches similaires seront mises en œuvre dans d'autres domaines pour fournir plus de logements et améliorer la qualité de vie des Gabonais. Cette initiative sera appuyée par des travaux importants à Libreville sur les réseaux de drainage, de collecte et de distribution d’eau.
Les autres projets majeurs comprennent le développement des ports, des bâtiments publics et des installations pour soutenir la croissance des secteurs économiques. Ces travaux renforceront encore la vision du Président de la République - Le Gabon Emergent.
lundi 6 février 2012
COMMUNIQUÉ DE PRESSE:MESSAGE D'ENCOURAGEMENT DE S.E. ALI BONGO ONDIMBA, PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE GABONAISE, CHEF DE L'ETAT
Le rêve de toute une Nation s'est peut-être brisé, mais le Gabon ce soir a triomphé par son sursaut patriotique, car la défaite de ce soir a surtout révélé la sensibilité d'un Peuple qui a su afficher son Unité derrière son Président de la République. Ce dernier vient de livrer un message adressé à l'équipe nationale des panthères dont l'UJPDG-France vous en livre le contenu:
Chers Compatriotes,
Chers Joueurs et Dirigeants de l'Equipe Nationale des Panthères du Gabon, Vous quittez ce jour la prestigieuse compétition qu'est la Coupe d'Afrique des Nations de Football 2012.
C'est la règle du sport qui veut qu'il y ait en cette phase de cette CAN 2012 un carré d'as final, donc des vainqueurs et des vaincus.
Tout au long de cette compétition, votre parcours a été honorable et vous nous avez offert à tous, dans la ferveur et la communion des cœurs des moments de joie et de fortes émotions.
Aujourd'hui après une bataille âpre et une chance qui n'était pas de votre côté, vous vous inclinez avec dignité et honneur face aux Aigles du Mali, que je félicite pour leur valeureuse prestation et ce, après un match de 120 minutes et la fatidique séance de tirs aux buts.
Même si nous aurions souhaité vous applaudir et vous accompagner jusqu'à la finale du 12 Février 2012, vous avez attiré la sympathie et les feux des projecteurs du monde non seulement sportif mais de nombreux lecteurs et téléspectateurs sur votre talent individuel et collectif mais aussi et surtout sur notre pays en pleine mutation.
Aujourd'hui plus que jamais nous sommes déterminés à accomplir les réalisations sur tous les plans, à engranger des succès afin de nous ancrer résolument sur le chemin de l'émergence. Le sport en est une excellente et brillante vitrine.
Avec cette CAN 2012, notre pays aura relevé incontestablement les défis de l'organisation et de la participation.
Je vous exhorte à tirer les leçons de cette expérience et à envisager avec foi et espoir les prochains rendez-vous, notamment de la CAN 2013, pour soulever encore toujours plus haut le flambeau du Gabon.
A vos dirigeants, je leur exprime mes encouragements à poursuivre avec énergie, inspiration et méthode l'œuvre de construction d'une équipe qui compte parmi les plus grandes nations de football de notre continent.
J'invite le public Gabonais et tous nos compatriotes à parachever le défi de l'organisation réussie, de l'accueil chaleureux et fraternel et à garder tous ensemble confiance au potentiel multiforme de notre cher pays.
Sur le chemin de l'édification de notre avenir commun et radieux se profileront de grands moments de bonheur, de satisfaction et de fierté partagée.
S.E. Ali BONGO ONDIMBA, Président de la République, Chef de l'Etat
FIN
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