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vendredi 3 février 2012

CHRONIQUE D'UN PACTE DE CONFIANCE ENTRE LE PRÉSIDENT ALI BONGO ONDIMBA ET LES PANTHÈRES DU FOOTBALL GABONAIS

Malgré l'adversité, les oppositions, voire les comportements à la limite conflictuels des acteurs concernés par cette pratique, le sport,le football notamment,reste malgré tout une forme de guerre sans armes, en dehors du ballon rond. Une guerre sans effusion de sang et ce, malgré la violence des chocs qui poussent parfois à l'indignation et à la colère.


Une guerre des temps modernes entre les nations en compétition ; mais qui a l'avantage d'unir,même un laps de temps, les peuples " le sport unit les peuples " , a-t-on coutume de dire.
D'autres affirment ,sans sourciller, et particulièrement en Afrique où l'on enregistre des guerres civiles et autres bouleversements sociopolitiques, que " le sport demeure un facteur d'unité nationale ".
La configuration de certaines équipes nationales en lice dans cette Coupe d'Afrique des Nations, qui se déroule au Gabon et en Guinée Equatoriale actuellement, en est d'ailleurs l'illustration parfaite.
Une équipe nationale de football , quelque soit la situation ou la période , ne peut donc se construire autour d'un groupe ethnique , d'un parti politique fut-il majoritaire et encore moins d'une opposition politique,fut-elle, comme cela se clame un peu partout, sociologiquement majoritaire.

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