Jean Ping Et Divungui Le Gain Et
Les Mesures D’Ali Bongo
Ne nous
trompons pas les uns des autres, les analystes de l’actualité Nationale et
internationale piochent encore sur le terrain de Ping et celui de Divungui.
Les
sources avérées ont publiées des articles sur le sujet qui démasque et voici
alors la vérité sur le mécontentement de quelques leaders de l’opposition
Gabonaise. Disons-le; Entre feu Bongo Ondimba et Ali Bongo, la vision sur les
fonts public est très différente en somme, le premier constat d’Ali dès son arrivée
au pouvoir, l’a amené à conclure que les collaborateurs de son prédécesseur ne
l’étaient que pour le gain et non pour le bien-être du peuple. Que est ce qui
se passe réellement entre Ping, Divungui, et le Président de la République
cette question taraude sans suite les consciences de Gabonais et voici ce que
nous révèlent les proches de ces deux leaders ; Monsieur Jean Ping
Ministre des hydrocarbures, de l’époque de Feu Bongo Odimba , les gabonais ne pouvaient imaginer qu’a cette époque, il percevait 1% du revenu pétrolier Gabonais à hauteur, d’ 1.000.000.000 de nos
francs par mois imposer sur l’ensemble des sociétés pétrolières installées à
Port Gentil.
Monsieur
Divungui l’opposant de la dernière minute quand à lui à cette même époque, dans
les mêmes circonstances mafieuses percevait de la société d’énergie et d’eau du Gabon SEEG, la bagatelle somme de 500.000.000 de nos francs par
mois sous prétexte d'une location de son immeuble bâti grâce à un financement douteux
abritant les services de la SEEG à Port
Gentil.
C’est
donc en 2009 quand Ali Bongo Ondimba accède à la Magistrature suprême souhaite d’y
voir claire et se propose de revisiter les contrats qui liaient les uns et les
autres. A la lumière de cette mascarade financière, le Chef de l’Etat décide donc
de mettre un terme à ce cambriolage de l’argent du pays, au mois de Mars dernier ce qui justifie la colère
de Ping et de Divungui. En effet si cette mascarade a été continuelle ou approuvée
par Ali Bongo Ondimba, nul doute ces deux personnalités devaient demeurer dans
la majorité Présidentielle de l’émergence, laquelle elles ont d’ailleurs témoignées la légitimité de son Président et l’ont
félicité en 2009. Voici ce que nos politicards n’ont pas dit aux Gabonais lors
de leurs déclarations respectives de ralliement à l’opposition.